Septembre et son été indien a conduit les uns et les autres sur différents rivages.
Moi, il m’a conduite sur l’île si chère à Michel Fugain.
« Ici le vent se déchire
La mer se brise et respire
L’odeur des maquis des forêts »
« Ici les montagnes fières
N’ont laissé que quelques pierres
A la vigne et aux oliviers »
« Ici un homme se sent vivant
Ici un homme se sent plus grand
Ici un homme a le temps »
« Ici les mots semblent différents.
Ici la vie se vit autrement,
Se vit autrement
Sur ce radeau
Sur ce bateau
Cette île au milieu de l’eau »
« C’est une île où il fait toujours bleu »
Un seul mot : Magnifique