Jura : Les gorges de d’Areuse
Petite pause sur le chemin vers Bâle, tel est l’objet de notre randonnée du jour. Nous quittons donc l’autoroute un peu avant Neuchâtel pour monter à la gare de Chambrelien d’où débute notre balade.
Très vite, nous pouvons apercevoir le lac, avec en fond, les belles montagnes Suisse.
Un bon sentier nous conduit dans une forêt de feuillus, bien verts pour la saison.
Quelques trouées nous permettent encore de voir le lac,
avant que le sentier ne s’enfonce vraiment dans la vallée.
Une centrale hydroélectrique est visible dans le fond des gorges, centrale que nous côtoierons au retour.
Le sentier reste à flan de montagne,
un peu en dessus de la voie ferrée.
Nous parvenons bientôt au belvédère et sa cabane.
De là, le lac est encore visible.
Nous poursuivons le long de quelques rochers, sur un sentier désormais mieux sécurisé (car comme le mentionnait un avis, attention aux chutes de pierre).
Nous voyons maintenant clairement l’Areuse qui coule en fond de vallée.
Le sentier descend un peu
pour passer sous la voie ferrée
et rejoindre le champ du moulin.
De là, nous rejoignons l’Areuse que nous traversons.
Elle est ici d’un calme plat.
Le sentier suit sa rive, d’abord dans les champs,
puis dans la forêt.
Un vent léger fait frissonner les arbres qui perdent leurs premières feuilles.
Nous parvenons à un petit tunnel,
qui, une fois traversé, nous dévoile une première chute d’eau.
Puis c’est l’enchaînement de ravissants rideaux d’eau dans la lumière de l’automne.
Le sentier poursuit sa descente, proche d’une Areuse désormais plus calme,
jusqu’à la prochaine chute !
Nous retrouvons ensuite un large sentier
que nous quittons pour prendre sur la gauche, une sente qui nous mène à un nouveau pont.
Nous longeons alors l’autre rive pour atteindre bientôt l’usine hydroélectrique et ses dépendances.
Nous poursuivons en suivant maintenant une Areuse plus pauvre en eau,
avant de la traverser une dernière fois et bifurquer vers le sentier qui remonte sur Chambrelien
Le sentier grimpe en forêt,
passe devant une grotte,
traverse librement la voie ferrée,
avant de poursuivre sa montée vers Chambrelien.
Escapade bien sympathique pour, peut-être, notre dernière journée d’été indien (si l’on en croit la météo).