Week-end bourguignon

Quelle région est à équidistance de la région Rhône-Alpes, la région Parisienne & des cantons de Bâle ? La Bourgogne ! Notre terrain de découverte pour ce week-end.

Nous rallions donc Dijon

où nous initions le programme en attendant le dernier arrivant.

Au complet, nous mettons le cap sur le château de Commarin.

Nous en visitons brièvement l’intérieur avec de magnifiques écuries

des tapisseries encore hautes en couleur malgré leur grand âge

et une petite cuisine !

Puis nous parcourons le très grand parc

pour pouvoir admirer la belle pièce d’eau qui entoure le château.

Il est bien gardé par de drôles d’animaux de compagnies.

Notre tour du propriétaire effectué, nous partons pour le jardin et parc du château de Barbirey.

Le carré des pivoines est encore en fleurs

et le jardin potager, un vrai régal pour les yeux.

Nous descendons un peu, au milieu de parterres fleuris

pour retrouver un petit bassin aux nénuphars.

Quelques buis façonnés attirent notre attention.

Puis nous partons à la visite de la pièce d’eau, en contre-bas.

Nous poursuivons en traversant la prairie et rejoignant la forêt,

avant de rentrer par la Serpentine, une longue haie de buis.

Nous faisons une petite halte au pied du majestueux séquoia

avant de retrouver la petite rivière (la Gironde).

La bâtisse elle-même n’a rien d’exceptionnel

mais son jardin est un vrai paradis.

Nous remontons alors jusqu’aux écuries où un magnifique rosier termine notre déambulation dans ce parc merveilleux.

Alors, si vous passez par là, faites une halte aux jardins de Barbirey, leur label « Jardin remarquable » est largement mérité !

Après ce premier jour campagnard, nous optons pour 2 journées de vélo, l’une le long du canal de Bourgogne et l’autre, dans les vignes bourguignonnes.

Nous consacrerons notre dernier jour, à la visite de la ville de Dijon (pas en reste non plus) en suivant le parcours de la chouette.

Elle nous a d’abord conduit

à la Cloche, immense palace déjà connu depuis le XVième siècle.

Nous franchissons la porte Guillaume

saluons ses petites grenouilles,

avant d’arriver à la poste.

Et comme nous sommes un peu « Suisse », nous nous attardons face aux horloges.

Un étrange immeuble Art nouveau, aux toits en pagode, retient aussi notre attention.

Nous partons ensuite pour les halles, entièrement closes et désertes en ce dimanche matin.

Nous nous rendons ensuite à la place François Rude

où une sculpture d’arbre à visage humain nous intrigue.

Puis, nous entrons dans la rue des Forges et ses hôtels particuliers : l’hôtel Aubriot

puis la maison Maillard

et le somptueux hôtel de Chambellan.

Nous atteignons ensuite Notre Dame et ses gargouilles,

son horloge et ses acteurs : Jacquemart, Jacqueline, Jacquelinet & Jacqlinette.

et bien évidement, nous allons caresser la chouette !

Nous passons à la maison Millière, qui a conservé son aspect typique du moyen-âge.

Nous entrons dans l’hôtel de Vogüé

Et faisons une halte face à l’église St Michel.

Nous poursuivons vers des bâtiments plus récents, comme le musée des beaux-arts.

Un petit jardin plus loin,

nous arrivons au palais des Ducs et des Etats de Bourgogne et à la place de la libération

Les hôtels particuliers sont là aussi bien présents, dans ce quartier des parlementaires.

Un petit tour vers Saint-Bégigne

et Saint Philibert

termine notre parcours, si riche en histoire.

Juste le temps de rentrer à la gare, prendre une petite collation avant que le premier de nos trains s’en retourne vers la Suisse.

Pour les autres, après une visite éclair de la cité de la gastronomie (qui ne nous a pas vraiment conquise), nous retournons en centre ville pour admirer le musée des beaux arts et plus particulièrement les statues de François Pompon.

Merveilleux cadeau de fête des mères que ce week-end dijonnais.

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