1971, c’est la France de Pompidou, travaillée par ce qu’on appelle “la libération sexuelle”.
Pas de doute, Michel Delpech est d’accord. Mais il déclare : « Mon public est celui qui ne tient pas à être affolé, brusqué. J’ai un aspect rassurant. »
Le message de Pour un flirt n’en est que plus efficace. Planquée sous ses airs de carte du tendre, la chanson ne fout pas les jetons aux parents. Michel y poursuit pourtant le même objectif que la plupart des jeunes : conclure!
Les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par R M (chroniqueuse musicale sur France Inter) t’expliquent donc aujourd’hui pourquoi, avec son air de baloche, Pour un flirt s’écoula à un million d’exemplaires