L’aquarelle faisait, cette année encore, partie des surprises du père Noël;
de quoi nous donner une âme d’artistes….
Aujourd’hui, nous prenons donc nos bicyclettes pour partir découvrir non pas le musée de Grenoble, mais les œuvres qui jalonnent ses rues.
Nous débutons à deux pas de la maison, derrière la bibliothèque, pour admirer « La Tortue » (2017) de Veks Van Hillik.
Puis rejoignons la rue du tram, pour étudier la nouvelle réalisation de Seth, “Les Yeux dans les yeux”.
De là, nous traversons le Drac, pour déambuler dans le cours Berriat et ses nombreuses œuvres, dont « La Courbe » (2017) de Monkey Bird.
Après quelques pérégrinations, nous rejoignons la rue Génissieu, temple du street art, pour découvrir, « Stendhal Syndroma » (2015) de Mr Wany
et « La Petite Fille et Le Nounours » (2016) de Animalitoland.
Nous rejoignons ensuite la rue des Bergers, et ses fresques : « La Murène et les lys » (2015) d’Etien, aujourd’hui un peu vandalisée,
et “Ordering Machine” (2016) des artistes suisses du duo Nevercrew.
Nous faisons ensuite un tour, place Jacqueline Marval, où de nombreuses portes de garages, attirent notre œil.
puis poursuivons jusqu’à la rue de Turenne pour admirer « Food for Thought » (2017) des jumeaux How & Nosm.
Nous tournons ensuite rue Augereau, dont tout un mur est entièrement peint.
Nous faisons alors une pause rue Marceau pour voir « Let’s get trunk » – Dumbo (2021) de Fanakapan
et remontons rue Berthe de Boissieux.
Petite halte rue Doudart de Lagrée pour retrouver « l’arme de la paix », (2016) œuvre majeure reconnue mondialement de Snek.
Nous avons ensuite un peu de difficulté à trouver la rue François Raoult, mais le bâtiment parking qui s’y tient, est une vraie salle d’exposition. Nous retiendrons « la Fille du Printemps » (2017) de RNST
et « Lady Refugee » (2017) de Goin.
Nous terminons enfin notre déambulation devant le « Professeur Renard » (2016) de Veks Van Hillik.
Une jolie balade même si le soleil un peu glacial de Décembre ne poussait pas à musarder devant les œuvres !
Le canton de Bâle-Ville est un demi-canton. Il a été créé en 1833 par scission de l’ancien canton de Bâle, l’autre partie devenant le canton de Bâle-Campagne.
Bâle est une ville qui tire sa prospérité de son industrie, chimique et pharmaceutique. Autant dire que les cheminées ne manquent pas !
Mais Bâle, c’est aussi une ville qui devient magique, lors de son carnaval, le plus grand de Suisse.
Alors ne manquez pas le coup d’envoi, le lundi matin qui suit le mercredi des Cendres, à 4h du matin sonnantes.
Le canton d’Argovie est situé dans le nord du pays, à la frontière avec l’Allemagne. C’est d’ailleurs un canton de langue allemande, son nom « Argovie » venant du mot germanophone « Aar-gau » signifiant le pays de l’Aar.
Il est considéré comme le « Rüebliland » (pays de la carotte). Aller savoir pourquoi ?
Il devrait s’appeler le pays du muesli, car c’est ici qu’un médecin l’a crée.
L’histoire raconte que le docteur Bircher composa sa recette au début du siècle dernier après avoir rencontré en haute montagne un berger fort alerte, malgré son grand âge, et avoir partagé son repas. Le repas était composé de blé écrasé dans du lait, accompagné de quelques noisettes et une pomme, et sucré avec du miel.
Et en suisse allemand , on l’appelle birchermuesli, du nom du docteur et de muesli signifiant littéralement « petite purée ».
Alors régalez vos papilles avec cette guirlande de saveurs du terroir.
Le canton de Neuchâtel s’étend tout au long de son lac puis s’élève sur les hauts du Jura pour sympathiser avec la France.
Les autochtones parlent du haut pour la région de montagnes et du bas, pour la ville de Neuchâtel et son lac.
Pour ceux qui aiment le champagne, sachez que le meilleur mousseux de Suisse est neuchâtelois !
Et pour ceux qui préfèrent l’eau, le plus grand lac entièrement Suisse est aussi, l’un des plus propres.
Enfin, il se murmure dans les autres cantons francophones que les Neuchâtelois parlent le français le plus parfait de Suisse. Tellement parfait, qu’en simple Français, on peine un peu à le comprendre !