D’une beauté inouïe, « Hideous Bastard », premier disque solo d’Oliver Sim, lui permet de se libérer d’un énorme poids sur fond d’une new-wave d’aujourd’hui et de fédérer autour de lui les jeunes gays.
Et oui, comme te le racontent les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par d’ A A (chroniqueuse musicale sur France Inter), Oliver Sim est à présent un homme confiant, alors qu’atteint du VIH depuis l’âge de 17 ans. Longtemps obsédé par ce secret, il a su l’exorciser, surfant sur ses émotions empreintes de luttes et de joies