En moins de deux ans, Benjamin Epps, le kid de Libreville, établi aujourd’hui en France, a bousculé les certitudes du rap hexagonal avec trois mini-albums sous influence new-yorkaise des années 90.
Pour faire simple, il boxe avec les mots, et dans la catégorie poids lourds, si l’on considère la pagaille que le rappeur a mise dans le hip-hop hexagonal.
Profite toi aussi, grâce aux éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par M S (chroniqueuse musicale sur France Inter), de celui qui insuffle à son public que le rap ce n’est pas que la drogue et la moula.