«De toutes les habitations où j’ai demeuré (et j’en ai eu de charmantes), aucune ne m’a rendu si véritablement heureux et ne m’a laissé de si tendres regrets que l’île de Saint-Pierre au milieu du lac de Bienne», écrivit Rousseau en ouverture de sa «Cinquième Promenade»
Comme lui, nous avons, nous aussi, opéré une petite promenade sur les rives du Lac de Bienne.
Malgré l’hiver, quelques fleurs jalonnent notre balade
Tout est calme
Et le petit village de Twann semble endormi.
Nous longeons le lac sur le chemin des poissons
Le lac aussi semble avoir été déserté par les embarcations.
Au loin, les Alpes règnent en maîtresse de lieux.
Nous découvrons l’embouchure du Twannbach, que nous avions remonté lors de notre randonnée dans les gorges de Douane, en Octobre dernier.
Avant de quitter les bords de l’eau pour reprendre notre voyage.
Ici, point de tempête Eunice, mais des eaux bien agitées par le vent.