1977, c’est la mort d’Elvis Presley aux Etats-Unis. Les premiers tubes d’ABBA en Suède et le punk en Angleterre.
C’est aussi Véronique Sanson qui fait résonner la Californie, et en français.
On lui avait bien présenté des messieurs pour lui écrire ses chansons… Mais c’était mal la connaître. Pour ses disques, elle faisait ce qu’elle voulait!!
A travers de Bernard’Song, la chanteuse serait sensé faire le portrait de son producteur de l’époque : Bernard Saint Paul. Tst, Tst… Ce texte écrit au masculin est un autoportrait.
Pour l’accompagner le jour de l’enregistrement, les musiciens sont des pointures et beaucoup de ces gars l’ont d’abord regardée de haut… Mais il a suffi à Véronique Sanson de chanter et jouer pour mettre tout le monde d’accord!!
Mais passons donc de la rhétorique à la pratique et écoutons les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par Rebecca Manzoni (chroniqueuse musicale sur France Inter) te raconter un petit bout des aventures de Véronique Sanson, qui en 1978, fût la première femme à se produire au Palais des Sports à Paris.