Les notes supplémentaires aux notes de base d’un accord sont logiquement appelées extensions (pour faite savant, les neuvième, onzième et treizième).
Il suffit d’ajouter les tensions, c’est à dire des dissonances, au tableau, et suivant comment on les intègre, on peut être sec en disant beaucoup avec peu de notes ou être humide en disant toujours beaucoup mais cette fois ci avec beaucoup de notes.
Quelques bons exemples valent mieux que toute une théorie, aussi, les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par A M (Auteur, compositeur, arrangeur et pianiste de Jazz) t’expliquent comment associer et dissocier les accords et les tensions pour jouer au gré de ses envies sec ou mouillé.