Si un peu musique évoquant la mélancolie peut être agréable, rien ne vaut celle qui ressuscite.
Et comment s’y prendre pour qu’une mélodie donne l’impression de ne jamais finir, et bien en jouant à nouveau sur les tensions et les résolutions qui sont le couteau suisse du musicien.
Pour ce faire, il suffit de jouer des suites d’accords qui ne se résolvent jamais (enfin, sauf au moment de conclure avant que l’auditoire ne se lasse) ou de jouer une suite de motifs musicaux où la dernière note de chaque motif est la première du suivant.
Rien ne vaut quelques exemples pour l’expliciter, aussi, les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par A M (Auteur, compositeur, arrangeur et pianiste de Jazz) t’en mettent plein les oreilles sur le sujet.