Nous démarrons aujourd’hui notre randonnée de la bocca a Croce (col de La Croix).

Le sentier descend en pente douce dans le maquis.

Les vues sur la punta Muschilina sont magnifiques.

Nous croisons une petite fontaine

et poursuivons notre descente agrémentée par de beaux points de vue,

avant d’arriver à la plage de Tuara.

Là, le ruisseau s’est transformé en rivière

et nous devons trouver un itinéraire bis pour traverser. Ce sera la plage.

Nous optons ensuite pour le sentier « mare e munti » qui s’élève au dessus de la baie.

Bon sentier,

qui monte de plus de 150 mètres et franchit la bocca tira ottu

pour nous dévoiler Girolata.

Nous descendons alors tranquillement vers le village,

longeant une belle barre de rochers ocres,

avant de déjeuner à l’aplomb de la baie.

Sur la plage, des vaches vont bronzette.

Nous traversons le village pour faire demi tour proche de l’aire à blé d’où nous apercevons le capo rosso.

Au retour, nous optons pour le sentier du littoral.

Il nous offre de belles vues sur la baie.

Puis, nous retrouvons la plage de Tuara,

et une petite crique

bien gardée.

Là encore, nous optons pour une nouvelle variante pour remonter via Vignola. Belle vue sur notre randonnée,

et même notre crique.

Après avoir longé le littoral, le sentier s’élève en forêt

pour rejoindre le parking du col de La Croix.

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Nous partons aujourd’hui près du stade de Piana

à la découverte des fameuses calanques de Piana.

Un bon sentier bien rocailleux s’élève dans une belle forêt de pins maritimes,

en direction du capu di u vitrillu.

Déjà les premiers rochers ocres se dressent sur notre gauche.

Nous poursuivons le long du torrent,

avant d’attaquer les premiers lacets toujours sous les pins.

Des trouées régulières nous permettent d’admirer ces étranges roches.

Nous apercevons aussi la mer.

Sur notre droite, ce sont des roches grises,

également très découpées.

Nous parvenons bientôt à la Bocca di Piazza qui nous mène au plateau sommital.

Beau panorama.

Nous longeons alors la crête pour découvrir bientôt le golf de Porto.

Nous déjeunons face à la mer avant d’entamer la descente.

Des bêtes immondes nous côtoient,

elles admirent elle aussi les panoramas,

Toujours plus ravissants.

Notre descente nous conduit alors à une belle châtaigneraie.

De la, elle se fait plus marquée, tantôt en forêt,

tantôt dans des zones plus dégagées.

Nous parvenons alors à la route que nous empruntons quelque temps pour aller au point de vue du château fort.

Puis, nous remontons par l’ancien chemin muletier.

Les vues sont de nouveau ravissantes.

Puis nous regagnons le parking, au pied de Piana.

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Pour notre première randonnée Corse, nous mettons le cap vers la plus aérienne des tours du littoral Corse, la tour de Turghju.

Du parking, un bon sentier nous conduit dans le maquis.

Belle vue en direction de la pointe d’Orchinu au sud,

et la tour de Turghju au nord.

Le sentier continue vers le cap,

passe près d’une source,

avant de rejoindre une bergerie rénovée,

d’où il monte dans un étroit couloir partiellement pavé

et aujourd’hui tout inondé.

Après une dernière montée dans les rochers, nous atteignons bientôt la fameuse tour.

Un premier escalier extérieur nous permet de monter au premier étage, d’où la vue sur le golf de Porto par l’unique fenêtre est magnifique.

Un second escalier intérieur nous mène ensuite à la plate-forme d’où le panorama est grandiose.

Bien aérés par le vent, nous prenons le chemin du retour.

Au bas de la descente, nous optons pour le sentier du littoral pour rentrer.

La, les arbres sont littéralement modelés par le vent,

et le panorama ravissant.

Le sentier longe des rochers transformés en étranges sculptures !

Un dernier regard vers le littoral,

avant de remonter, dans le maquis, vers la sente du départ.

Nous terminons rapidement car les premières gouttes arrivent,

et c’est sous une pluie battante que la voiture quitte le parking. Nous l’avons échappé belle…

Du haut de sa falaise de 300 mètres, la tour nous salue.

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Écrins : Les Oulles du diable

Nous ne pouvons quitter la Chapelle en Valgaudemar

sans avoir visité la curiosité du coin.

Nous partons donc pour une mini-randonnée, au pied de notre gîte.

Le sentier s’élève rapidement et nous pouvons bien vite apercevoir la cascade de Combefroide.

La vue sur l’Olan est splendide.

Le sentier continue de monter dans la forêt et le village est désormais minuscule.

Nous entendons alors la furie du torrent (La Navette) à nos pieds

Le fameux pont des Oulles est à deux pas

Nous le rejoignons bien vite

En amont, coule une Navette bien tranquille,

tandis qu’en aval, la forte pente génère les fameuses marmites bouillonnantes.

Nous remontons alors sur le versant opposé pour parvenir au hameau des Portes

avant de redescendre sur la Chapelle,

en admirant une fois encore, l’Olan

« Randonnette » bien sympathique pour conclure notre séjour dans le Valgaudemar.

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Écrins : Lac bleu – Lac Lauzon

C’est encore du chalet\hôtel du Gioberney que nous débutons notre randonnée du jour.

Comme la veille, nous empruntons le sentier qui monte au refuge du pigeonnier, avec, en fond de vallée, la cabane pastorale.

Nous montons le long du torrent,

apercevant bientôt la Cabane de Muande Bellone.

Arrivés au dessus de la croupe rocheuse, nous bifurquons aujourd’hui à gauche, en direction du Lac Lauzon pour prendre bien vite une sente peu visible, franchir un petit pas rocheux et parvenir sur un replat

d’où nous apercevons le refuge du pigeonnier.

Après une courte montée à travers les fougères,

nous découvrons un laquet,

avant d’arriver au bord du lac bleu.

L’eau est translucide, mais le temps commence à se gâter et les premières goutes arrivent.

Nous ne nous attardons donc pas trop et poursuivons à travers les herbages,

pour découvrir de nouveaux petits lacs

ou autres tourbières.

La lande est déserte, seulement traversée par des petits rus.

Nous rencontrons alors un beau troupeau de moutons,

avant d’apercevoir en contre bas le lac Lauzon.

Nous entamons alors la descente vers celui-ci, croisant une charmante petite cascade,

découvrant le sentier classique de montée.

Petite pose sous une nouvelle cascade et

arrivée au lac Lauzon d’une couleur toute différente de celui du lac bleu,

Mais beau miroir des sommets environnants.

La pluie a cessé et nous pouvons déjeuner sur l’herbe.

Nous prenons alors le sentier classique pour rentrer,

longeant dans un premier temps le torrent,

qui serpente dans la lande.

Puis nous entamons la descente,

croisant les cascades amonts de celle du voile de la mariée,

avant de traverser le cours d’eau

et entrer dans un petit mélezin.

Nous sommes bientôt de retour au parking du chalet/hôtel

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