« Peau d’âne », « La Boum », « Bagdad Café » etc… Jeanne Cherhal fait son cinéma au travers de son spectacle du moment.
Elle évoque ainsi les liens qui unissent l’écran et la musique, en particulier la façon dont les chansons font elles aussi naître des images.
Le concert convoque aussi des chansons de comédiens, de comédiennes, comme « Pull marine » d’Isabelle Adjani.
Bref, une belle opportunité que t’offre les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par M S (chroniqueuse musicale sur France Inter), de déguster une déclaration d’amour au cinéma, mais aussi une célébration de ses ponts avec la chanson.

Passant devant une auberge de jeunesse de garçons (à l’époque, les filles et les garçons font chambre à part) à New York, qu’on appelle YMCA aux USA, Henri Belolo et Jacques Morali auraient eu l’idée d’une chanson un peu ambiguë sur ces lieux où les garçons « couchent » ensemble!
YMCA, c’est donc bien plus qu’une chanson!
Village people porte surtout un message d’ouverture aux autres, de partage, de tolérance et de respect de la différence. YMCA en est devenue une sorte d’hymne mondial!
En ce weekend qui se veut sous le signe de la danse, trémousse toi aussi sur ce méga tube planétaire tout comme l’on fait des générations entières dans tous les dancings du monde entier.
En voiture Simone avec les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par R M (chroniqueuse musicale sur France Inter), pour quelques tours de pistes endiablés.

« Never Can Say Goodbye » paraît pour la première fois en 1971. Ce sont les Jackson 5 qui enregistrent le titre original avec des sonorités plutôt soul très loin du disco.
3 ans plus tard, la reprise de Gloria Gaynor propulse « Never Can Say Goodbye » sur les devant de la scène du disco.
Plus de 40 ans après sa création, « Never Can Say Goodbye » continue de faire danser les foules et a acquis le statut de chanson mythique.
C’est donc l’opportunité de passer, sur les pistes de danses, un joyeux weekend avec les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par R M (chroniqueuse musicale sur France Inter), qui te dopent avec la bande son d’une pulsion de fête.

300.000 ventes en un mois, cinq Bercy remplis au printemps et un succès faramineux : Orelsan a visé juste avec Civilisation.
L’album a fait tomber plusieurs records liés au streaming et à la scène rap et, plus que ça, s’impose comme l’un des plus gros succès de l’industrie musicale de ces dernières années.
Bref amatrice ou pas de rap, impossible d’ignorer cet événement quasiment planétaire.
Il est donc temps, grâce aux éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par M S (chroniqueuse musicale sur France Inter), que tu écoutes, entre musique drill et disco, les solutions d’Orelsan pour mieux vivre.

Quand elle est arrivée, le jazz vocal féminin stagnait comme une eau dormante sous le charme passé des imitatrices de Sarah Vaughan ou d’Ella Fitzgerald.
Nous étions en 2001, et Youn Sun Nah, une Coréenne tombée du ciel, fit entrer dans ce paysage atone un vivifiant courant d’air frais.
La chanteuse, établie en France, revient avec un disque dont elle a pour la première fois écrit tous les morceaux. Un onzième album magistral et fragile. Sans doute son meilleur!
Offre toi un bol d’exotisme et de fraicheur avec le chant de Youn Sun Nah aussi pur que les neiges du mont Fuji que les éditions de micros-livres audios « Papounet et Mamounette », bien aidées par M S (chroniqueuse musicale sur France Inter), t’infusent au gré de la finesse des arrangements et des changements de tons.