Val de Loire : Entre vignes et Loire

Nous partons aujourd’hui de Boisgibault, un peu à l’Est de Sancerre, sur l’autre rive de la Loire,

au royaume des vignes.

Nous cheminons entre les parcelles, bien protégées par de drôles d’éoliennes.

La vigne est déjà bien formée,

et les premières grappes se montrent.

Au loin, nous apercevons Sancerre

et sa tour des Fiefs, unique reste du château des comtes de Sancerre.

Nous remontons la colline, bientôt bordée de forêt,

pour atteindre la route et redescendre dans le vallon boisé, toujours bordé de vignes.

Nous atteignons alors Les Loges, petite hameau de vignerons.

Nous remontons ensuite dans les vignes, avec maintenant vue sur la Loire.

Nous redescendons peu à peu à son niveau pour la longer un temps,

mais bientôt bloqués par sa crue.

Nous faisons une pause déjeuner avant de rebrousser chemin pour prendre la route et rentrer à Boisgibault.

De là, nous partons en direction du château de Tracy mais là encore le chemin est impraticable.

Nous jeterons donc un œil au château depuis la voiture,

avec laquelle nous irons à Sancerre, admirer notre périple depuis les remparts de la ville

et constater qu’effectivement, la Loire s’est bien étalée sous les pluies printanières.

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Val de Loire : Écluse de Mantelot

Première randonnée à la découverte du Val de Loire. C’est du port de plaisance de Briare que nous partons aujourd’hui.

De là, nous atteignons en quelques foulées, le fameux pont canal qui fait la renommée du bourg.

Construit par les ateliers d’Eiffel pour la maçonnerie,

c’est un pont sur lequel passe de l’eau, en l’occurrence le canal latéral de la Loire.

Le pont traversé, nous passons sous le canal

pour le suivre sur sa rive opposé.

Le sentier se fraye un chemin parmi les herbes folles

et les jolies fleurs des champs.

Nous croisons notre premier héron

et un bateau de plaisance.

Le sentier poursuit sa route le long du canal

dans la campagne

et ses habitants.

Une vigne semble un peu perdue dans le décor.

Le chemin devient ensuite plus large à l’approche des habitations

mais les hérons continuent de nous accompagner.

Nous parvenons ainsi au port de Châtillon sur Loire.

Là, nous traversons le canal,

en admirant le petit port

avant de poursuivre parmi les habitations dont l’une attire notre œil.

Nous arrivons alors au bassin des Mantelots

et à la fameuse écluse de Mantelot,

qui fait la jonction avec la Loire.

Nous en profitons pour déjeuner

avant de repartir le long de la Loire.

La levée de l’escargot est totalement submergée

car la Loire est assez haute.

Nous montons sur le pont pour la traverser,

en allant jeter un œil à l’escargot tout innondé.

Le pont traversé, nous sommes maintenant à l’écluse des Combles,

toujours accompagnés par les hérons.

Nous suivons désormais le vieux canal,

plus navigable de nos jours.

Le sentier chemine sous bois,

au bord de l’eau, dans le chant des oiseaux.

Nous rencontrons aussi des familles canard,

un rongeur à la nage.

Nous poursuivons ainsi jusqu’au pont canal de Briare.

Un dernier regard vers le canal

et nous revoilà au port.

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Bourgogne : Flânerie urbaine à Paray-Le-Monial

Petite pause sur notre route pour faire cette mini balade dans Paray-Le-Monial.

Nous partons du bord de la Bourbince, où nous découvrons notre première mosaïque contemporaine.

Nous parvenons bien vite à la basilique du Sacré Cœur et son cloître.
C’est la sortie de la messe.

Nous la contournons donc (pour éviter la foule qui en sort)

et poursuivons vers la chapelle des Visitations

puis vers celle de La Colombière un peu trop kitsch (enfin Art Déco) à notre goût.

Nous lui préférons la maison renaissance du drapier Pierre Jayet.

Nous montons ensuite à la simple et très réduite église Notre Dame d’où la vue sur la ville

et la campagne charolaise est intéressante.

Nous redescendons vers la ville en passant à nouveau proche de la tour Saint Nicolas (érigée par le frère de Jayet pour lui faire de l’ombre! )

Puis nous entrons visiter la basilique

admirons son portail,

mais surtout contemplons ces différents chevets.

Nous poursuivons par la visite du cloître,

son jardin de plantes médicinales,

son accès direct à la basilique,

et les Lames de pluie de J Barguil.

Nous traversons ensuite la Bourbince,

pour admirer la basilique avec un peu plus de recul.

Puis, nous remontons une rue plus commerçante, pavée ça et la de mosaïques

pour traverser le canal du centre

et atteindre la maison de la mosaïque contemporaine, hélas encore fermée.

Nous rentrons alors retrouver le bord de la Bourbince pour terminer cette petite flânerie dans Paray-Le-Monial.

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Suisse : Jardin aux herbes Ricola et Sentier des abeilles

Souvent nous traversons la ville de Laufen (et ses bâtiments Ricola) sans nous y arrêter. Ce week-end, nous faisons une halte à la boutique.

Et aujourd’hui, nous décidons d’en savoir plus sur ces fameux bonbons.

Nous partons donc à la découverte de son jardin aux herbes, depuis le bas du petit village de Nenzlingen, au Nord Est de Laufen. Nous remontons la petite route pour parvenir à un premier croisement, dans des vergers bien fleuris.

Nous apercevons alors le village de Blauen

Nous poursuivons notre montée et arrivons bien vite au jardin Ricola. D’ailleurs nous apprenons que Ricola vient de Richterich & Co Laufen, le boulanger et pâtissier Emil Richterich en étant le fondateur en 1930.

Et que les 13 plantes qui composent les fameux bonbons sont les suivantes

Primevère, (là, c’est la pleine saison, les cucumelles comme mamie les appelle, sont toutes fleuries)

Sureau,

Véronique,

Mauve, (là il va falloir attendre un peu pour la voir fleurir …)

Mais aussi Millefeuille, Alchémille, Guimauve, Marrube, Pimprenelle, Plantain, Menthe poivrée, Sauge, et Thym, rassemblées dans un parterre encore un peu terne en ce début de printemps.

Le jardin regorge aussi d’autres plantes car aujourd’hui, la société fabrique jusqu’à 60 types de bonbons ou tisanes différentes.

Nous avons même pu admirer des châtons de noyer en boutons.

Le jardin traversé, nous poursuivons sur le sentier des abeilles,

avant de faire demi-tour à l’air de barbecue. Nous revenons alors chez les abeilles

et retraversons le jardin.

Nous terminons par le champ de menthe, la spécialité de ce jardin. Plus de 30 variétés y poussent.

Bref, une bucolique petite pause sur le chemin du retour vers la France.

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Suisse : Rando vélo à Augusta Raurica

Nous partons ce matin du centre ville de Bâle en direction de l’Est pour rejoindre bien vite les merveilleux jardins Merian.

Cyclistes pied à terre, nous commençons par monter à l’orangerie.

Les immenses massifs de tulipes ne sont ici pas encore en fleurs

Et les carrés potagers, encore pauvrets.

Mais dans les bordures, là, les tulipes sont énormes.

Nous rejoignons alors un nouveau jardin (le parc Pré vert – Grün 80), bordé d’une pièce d’eau,

avant de trouver un joli dinosaure.

Ce géant salué, nous réenfourchons nos bicyclettes pour gagner les ruines romaines d’Augusta Raurica. Du temple, il ne reste hélas que l’emplacement.

Par contre, le théâtre (troisième du titre) a lui été entièrement reconstruit.

Du haut des gradins, la vue sur le temple devait être impressionnante.

Nous quittons le théâtre pour le forum et la curie où sont cachées de belles mosaïques.

Puis nous partons pour les thermes

et leur fantôme,

avant de reprendre nos vélos pour découvrir une taverne (vive la réalité augmentée) et aller jusqu’au Rhin, observer les restes de l’église paléochrétienne.

Repus d’histoire romaine, nous rentrons en Suisse par l’Allemagne pour retrouver la ville de Bâle et ses tours si caractéristiques.

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