Écrins : Lac d’Arsine

Écrins : Lac d’Arsine

Nous partons aujourd’hui du Casset, un peu au Nord de Monetier-Les-Bains.

Le sentier traverse le village pour retrouver les champs,

puis bientôt la forêt de Mélèzes.

Nous suivons le Tabuc que nous finissons par traverser.

Tout là haut, les glaciers luisent au soleil.

Nous finissons par sortir de la forêt,

pour atteindre le lac de la Douche, 

surplombé par le magnifique glacier du Casse de la montagne des Agneaux.

Le sentier poursuit dans un verrou,

et nous sommes bientôt au dessus du lac.

Le verrou franchit, nous découvrons le vallon.

Le sentier suit le torrent,

qui dévale parmi les bruyères.

Celui ci devient turquoise,

à l’approche des chalets d’Arsine, et forme de petits lacs.

Les cimes sont ravissantes,

et l’on découvre alors les moraines qui cachent le lac d’Arsine.

Nous poursuivons notre montée, bifurquant sur la gauche près d’un petit cairn,

pour atteindre le lac après avoir franchi la moraine.

Nous déjeunons près du premier lac,

avant de partir explorer le deuxième.

Le pic Gaspard est ravissant.

En longeant le bras qui rejoint les 2 lacs, belles vues sur les sommets opposés, tout arides.

Nous prenons alors le chemin du retour, 

descendant la moraine,

jusqu’au col d’Arsine cette fois-ci.

Après un dernier regard vers les sommets,

nous redescendons le vallon,

rejoignant bien vite les chalets d’Arsine,

et leurs eaux turquoises, 

naviguant dans les méandres.

Nous longeons le torrent,

pour atteindre le haut du verrou,

puis le lac de la Douche,

où nous faisons une courte pose.

Puis, nous repartons dans la forêt, 

traversant,

et retraversant le torrent,

pour atteindre les pâturages du Casset.

Somptueuse randonnée, très variée, mais certes un peu exigeante.

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Écrins : Lac de l’Eychauda

Écrins : Lac de l’Eychauda

Nous partons aujourd’hui de Chambran, l’ultime hameau du vallon du même nom, à une dizaine de kilomètres au nord de Vallouise.

Nous remontons le vallon, 

parmi les cascades, revigorées par la pluie d’hier.

Nous traversons une belle passerelle, qui nous laisse découvrir l’immensité du vallon,

que nous poursuivons sans fin.

La montée devient alors plus ardue pour finir en lacets et nous laisser découvrir le lac de l’Eychauda.

Le lac est grand, serti dans un environnement tout minéral.

Nous déjeunons sur ses hauteurs, avant de remonter encore un peu pour mieux le contempler.

Au loin sur la droite, les plus vaillants sont montés au col des Grangettes.

Nous, nous préférons aller tenter de mettre la main dans ses eaux, au seul point accessible.

Le ciel se découvre un peu pour nous faire apprécier les cimes enneigées.

Puis nous prenons le chemin de la descente, tout le parcours étant bien visible.

Parvenus au fond du vallon,

nous côtoyons les colchiques qui parsèment la pauvre prairie.

Nous faisons une pause le long du torrent de l’Eychauda, la température y étant plus clémente qu’au lac !

De là, belle vue sur toute notre randonnée.

Nous rejoignons enfin le parking,

où les parapentes fleurissent comme des champignons.

Une jolie randonnée, au sentier visible dans sa totalité dès le début mais qui garde bien caché son trésor.

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Écrins : Le refuge du glacier blanc

Écrins : Le refuge du glacier blanc

Nous nous rendons aujourd’hui au fameux pré de Madame Carle pour cette première randonnée de notre séjour à Vallouise.

Du parking, nous pouvons déjà apercevoir le glacier blanc tout là-haut.

Nous commençons par traverser le torrent, pour monter sur la droite.

Nous pouvons admirer ce qu’il reste du glacier noir,

avant de bifurquer sur la droite pour longer ce que fût jadis le glacier blanc.

Il a maintenant reculé très haut au dessus du refuge.

Nous descendons traverser le torrent de fonte, pour monter à droite,

admirons le Mont Pelvoux,

avant de repartir en direction du glacier.

Des cascades parsèment les roches polies.

Nous distinguons maintenant le refuge,

bien intégré parmi les roches.

Nous croisons une marmotte,

avant d’atteindre le refuge de Tuckett,

un peu spartiate.

Mais les vues, tant sur le Pelvoux,

que sur le glacier lui-même sont somptueuses.

Nous poursuivons notre montée,

apercevant maintenant au loin le le refuge Tuckett devenu minuscule,

et arrivons bientôt au refuge du glacier blanc,

plus vraiment au pied du glacier maintenant.

Nous prenons alors le chemin du retour, face aux sommets.

Nous admirons aussi le glacier sous Ailefroide,

puis retrouvons le refuge Tuckett,

jetons un dernier regard vers le glacier avant de poursuivre la descente.

Nous parvenons ainsi à la passerelle du feu glacier,

puis repartons en direction du Pelvoux.

Nous profitons des sommets au loin,

mais aussi des jolis arabesques du torrent en bas vers le pré de Madame Carle,

avant de plonger en direction de la vallée du glacier noir,

franchir une dernière fois le torrent,

et retrouver le parking. De là, nous pouvons admirer une dernière fois le glacier blanc

et la brèche des Écrins.

Magnifique randonnée, au plus près des géants des Écrins.

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Y Grenoblois : Bon Repos – Belle Vue

Y Grenoblois : Bon Repos – Belle Vue

Petite randonnée dans l’Y grenoblois pour profiter d’une fraiche après-midi d’été.

Nous partons de Jarrie, du château de Bon Repos.

Nous rejoignons assez vite le sous bois

sur un large sentier

Il finit par monter un peu pour rejoindre la croix de la vue

où la vue est bien maigre

Nous poursuivons la montée, maintenant plus rude, avec une vue plus dégagée,

pour atteindre Montchaboud et son lavoir

Là nous tournons à gauche pour bientôt découvrir enfin « belle vue »

sur la vallée du Drac et la chaine du Vercors

et sur la ville de Grenoble et celle de la Chartreuse.

Après une petite pause goûter, nous redescendons

apercevant de mieux en mieux « Bon Repos ».

Nous finissons dans les prairies

et les haies, pleines de mûriers.

Et retrouvons « Bon Repos »

toujours vaillant malgré son grand âge.

Un petit tour à la campagne à deux pas de Grenoble.

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Mont Blanc : Col de Tricot

Mont Blanc : Col de Tricot

Nous partons aujourd’hui du parking du petit hameau de Bionnassay, qu’il faut atteindre via une route bien trop pentue et extrêmement étroite.

Les sommets sont encore partiellement voilés.

Nous empruntons une large piste qui passe devant quelques chalets,

avant de déboucher au col de Voza.

De là, nous longeons la voie du petit train du Fayet (appelé désormais TMB: Tramway du Mont Blanc),

attendons quelques minutes son passage

et poursuivons jusqu’à Bellevue.

Là, nous saluons au passage des vaches d’Hérens, originaires du Valais Suisse, à la robe presque noire.

Les différentes aiguilles émergent des nuages,

tout comme le glacier de Bionnassay.

Nous laissons le train poursuivre sa montée,

pour nous engager sur la droite, dans la forêt.

Une trouée nous permet de voir la passerelle de Bionnassay, où nous nous rendons.

Là-haut, le glacier nous surveille et gronde sous l’effet de la chaleur

alors que la vallée est encore sous les nuages.

Nous traversons une belle prairie,

avant de descendre dans l’ancienne langue glaciaire, désormais transformée en torrent fougueux.

Nous le traversons sur la passerelle,

avant de remonter de l’autre côté.

A la sortie de la forêt, belle vue sur la vallée

et sur le glacier.

Nous poursuivons maintenant notre montée dans les rhododendrons.

En obliquant sur la droite après le premier verrou, nous montons sur la crête. De là, magnifique vue sur la vallée

et sur le glacier.

Le sentier poursuit sur l’arrête.

Nous parvenons ainsi au Col de Tricot pour découvrir les chalets de Miage,

mais la vue sur le Dôme est aujourd’hui toute bouchée.

Nous en profitons pour déjeuner un peu à l’écart de la foule et admirer le refuge du Goûter.

Avant de repartir, nous jetons un nouvel œil au Dôme de Miage, maintenant un peu plus dégagé,

et prenons la descente par la voie directe.

Les belles vues sur l’arrête du Goûter

et sur le glacier s’enchaînent.

Au loin, le TMB redescend lui aussi.

Parvenus un peu au dessus de la passerelle, nous prenons un sentier sur la gauche. Bien équipé, il descend fortement dans les sapins,

et les chutes d’eau,

qui deviennent de vraies cascades.

Il poursuit sa descente pour arriver enfin dans les prairies.

Nous traversons de nouveau le torrent (sur un solide pont de bois, cette fois-ci),

et remontons dans les alpages,

jusqu’au hameau de Bionnassay.

Encore une randonnée splendide au pied de ces géants de glace qui fondent à vue d’œil.

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