Queyras : Lac de Souliers et plus

Queyras : Lac de Souliers et plus

Nous étions partis aujourd’hui pour faire une dernière randonnée dans le Briançonnais, proche des chalets de l’Izoard, mais le tournage de la série « Alex Hugo » nous en a empêchés.

Nous avons donc franchi le col de l’Izoard, pour redescendre jusqu’à la Casse Déserte, où nous avons découvert le sentier pour le lac de Souliers.

Il débute à flanc en forêt,

avant de monter plus franchement entre les roches herborisées,

pour atteindre le lac de Souliers.

Nous le contournons par la gauche,

pour prendre une petite sente qui monte vers le col de la crête des Oules.

Une montée bien soutenue nous permet de vite prendre de l’altitude,

et d’atteindre le col.

De là, magnifique panorama sur les montagnes du Briançonnais,

du village de Cervières,

et même au-delà.

Nous partons d’abord sur la droite pour admirer le Mont Viso,

revenons au col,

puis grimpons sur la gauche, et là c’est la vue sur la rando initialement prévue

et le col de l’Izoard tout en bas.

Nous redescendons la crête,

pour revenir au col,

et entamer la descente. Nous déjeunons à mi parcours,

jetant un œil au chemin parcouru.

Nous repartons vers le lac,

que nous contournons par la gauche,

pour monter à la crête du Tronchet.

De là, belle vue sur la vallée d’Arvieux,

et du col de la crête des Oules où nous étions avant midi.

Nous prenons le chemin du retour, avec un dernier regard vers notre périple,

avant de retrouver la forêt,

et un étrange animal.

En chemin, nous distinguons la vallée de Clapeyto où nous avions randonné lors d’un séjour dans le Queyras.

Enfin, nous arrivons au parking de la Casse Déserte.

Très belle découverte que cette randonnée impromptue à la crête des Oules.

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Briançonnais : Lacs des Cordes et de l’Etoile

Briançonnais : Lacs des Cordes et de l’Etoile

Nous partons aujourd’hui du Bourgea, petit hameau sur la route des Fonts de Cervières.

Nous commençons par descendre vers le torrent et le traverser,

avant de monter en forêt.

Après quelques lacets, les maisons sont déjà loin.

Nous arrivons alors à un petit passage équipé,

mais sans réelle difficulté,

près d’une cascade.

Le sentier débouche alors dans les alpages,

où paissent un immense troupeau de moutons,

bien gardé par leur berger et ses chiens.

Les hauts sommets se montrent tout au fond de la vallée,

même ceux qui sont enneigés.

Nous gravissons le dernier verrou

et atteignons le lac des Cordes.

Nous quittons alors le sentier officiel pour longer le lac sur la droite.

Nous apercevons le col des Marsailles que nous prendrons au retour.

Parvenus au bout du lac, nous prenons une petite sente qui s’élève sur la droite,

prend un peu d’altitude

et conduit au lac de l’Etoile.

Nous descendons sur son rivage pour y déjeuner à l’abri du vent.

Après cette bonne pause, nous en faisons le tour.

Non seulement quelques libellules y ont élu domicile mais aussi un canard !

Nous quittons à regret ce petit bijou,

pour redescendre en direction du lac des Cordes,

que nous retrouvons bien vite.

Nous prenons ensuite la direction du col des Marsailles.

Un verrou franchi, nous découvrons le petit lac des Maïts,

bien en eau, contrairement à ce que mentionnait le topo,

puis terminons l’ascension du col.

De là, magnifique vue,

y compris au loin sur le Mont Blanc qui pointe son sommet.

Le col franchi, le paysage est un peu différent.

Nous entamons la descente,

pour trouver une cabane

et découvrons le fond de la vallée des Fonts.

Nous descendons encore en direction du torrent,

où nous trouvons veaux et vaches.

Le torrent franchi, nous le longeons,

pour atteindre bientôt le hameau des Fonts de Cervières.

Le hameau passé,

nous retraversons la Cerveyrette,

pour la longer, rive gauche, et retrouver le hameau du Bourgea.

Splendide randonnée dans les Fonts de Cervières sous un beau ciel bleu.

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Briançonnais : Circuit des lacs par le lac Gignoux

Briançonnais : Circuit des lacs par le lac Gignoux

Aujourd’hui, nouveau secteur de randonnée. Nous sommes juste au dessus de Cervières, près du hameau de La Chau.

D’ailleurs après quelques pas, nous apercevons clairement ce hameau.

La route vers les Fonds de Cervières est, elle aussi, bien visible.

Les cimes vers le col de l’Izoard sont bien éclairées par le soleil,

qui pour l’instant nous fait défaut.

Nous montons tranquillement par le sentier géologique, admirant maintenant tout le vallon des Fonds.

Nous parvenons ainsi à un premier lac: le lac des Sarailles.

De là, nous optons pour une pause déjeuner, en traquant un endroit raisonnablement abrité du vent.

Puis nous reprenons notre ascension

et parvenons à la cabane des douaniers.

Nous franchissons le petit col, pour jeter un œil au lac de Sagne Enfonza, presque asséché.

Nous faisons demi-tour pour revenir à la cabane et descendre à gauche.

Nous croisons une ruine

et poursuivons presque à flanc, laissant le lac de Sarailles s’éloigner.

La sente chemine à travers une végétation rachitique,

étrangement parsemée de petits lacs.

Nous apercevons aussi le lac Noir auprès duquel nous passerons au retour.

Nous cheminons ainsi dans la lande déserte

jusqu’au lac de Gignoux,

beaucoup plus grand.

Du lac, nous montons au col pour aller saluer l’Italie.

Dans cette vallée aussi, les lacs abondent.

La frontière franchie de nouveau,

nous faisons demi-tour, admirant encore le vallon italien,

avant de retrouver le lac de Gignoux.

Peu après le lac, nous tournons à gauche pour descendre dans les maigres alpages colonisées par les marmottes.

Nous parvenons bientôt au lac Noir,

couvert de belles fleurs roses.

Du lac, nous descendons alors franchement vers un hameau déserté, Les Fraches,

bordé de prairies superbement colorées.

La descente se poursuit au bord d’un torrent,

pour atteindre le hameau de La Chau.

En remontant vers le parking, nous découvrons encore des mini lacs !

Belle randonnée dans un immense espace sauvage agrémenté de multiples lacs.

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Grand Paradis : Punta Della Croce

Grand Paradis : Punta Della Croce

Avant de repasser la frontière, une dernière randonnée proche du parc du Grand Paradis, au départ du col San Carlo.

Nous commençons par emprunter un large chemin en forêt.

Les nuages défilent dans le ciel,

ne nous laissant entre apercevoir que les hauts sommets enneigés.

Nous quittons le chemin pour prendre une belle sente sur la droite.

Elle monte en lacets nous permettant de voir tantôt le fond de vallée

tantôt la chaîne du Mont Blanc.

Bientôt, nous découvrons aussi le lac d’Arpy, cachés dans les mélèzes.

Côté Mont Blanc, la couche de nuages est toujours bien présente.

Le sentier devient moins pentu

et atteint le col,

d’où il surplombe La Thuile.

Nous grimpons sur la droite jusqu’à la croix.

avant de poursuivre le long des fortifications.

Nous déjeunons à leurs pieds, attendant l’improbable éclaircie qui nous dévoilerait le Mont Blanc.

Le col du petit Saint Bernard est lui plus éclairé,

comme le village de la Thuile.

Nous laissons à regrets les fortifications

et les sommets,

pour redescendre au col,

puis dans le vallon,

où coule une jolie cascade

avant de rejoindre le lac d’Arpy

et sa grosse fréquentation.

Une dernière petite pause goûter

avant de retrouver le parking

et de rentrer par le col du Petit Saint Bernard en saluant une dernière fois Monsieur Mont Blanc.

Une magnifique randonnée à refaire par grand beau temps.

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Grand Paradis : Le Grand Collet

Grand Paradis : Le Grand Collet

Nouvelle excursion dans le vallon de Valsavarenche puisque la randonnée du jour part de Le Pont, l’ultime destination de la route.

Nous commençons par suivre le torrent en direction du fond du vallon.

Puis trouvons le sentier qui monte au col du Grand Collet.

Il grimpe franchement dans les prairies desséchées. En face, l’eau coule en multiples cascades,

bien en eau ce matin après les pluies diluviennes d’hier.

Derrière, le Grand Paradis montre le bout de son nez.

Nous prenons vite de l’altitude car la montée est soutenue.

Déjà, le parking nous paraît minuscule tout en bas.

Et sa majesté le Grand Paradis est désormais bien visible, tout plâtré des précipitations d’hier.

Nous pouvons aussi distinguer le refuge Victor Emmanuel sur son flanc.

Le sentier continue à s’élever entre herbes et rochers

en direction du fond du vallon.

Nous parvenons alors à un ancien alpage,

l’alpage de Seyvaz.

De là, belle vue sur le Grand Paradis.

Nous poursuivons en direction de la crête,

toujours entre herbes et rochers.

Nous profitons d’un replat pour déjeuner face aux sommets enneigés.

C’est alors que nous apercevons notre premier bouquetin qui, lui aussi, prend son déjeuner.

Repus, nous poursuivons notre ascension, maintenant dans les rochers,

apercevant un autre bouquetin près d’un petit lac.

Le col apparaît alors.

Nous y grimpons pour découvrir l’autre versant, très différent.

Nous le franchissons pour descendre dans une immense zone légèrement herbue,

et parsemée de petits lacs.

Un regard en arrière, le col est déjà loin.

Face à nous, l’immense plan du Nivolet , dans lequel serpente le torrent du même nom.

Et sur notre droite, un sommet tout poudré.

Nous descendons dans la plaine,

croisons un hameau abandonné des hommes,

mais pas des marmottes.

Nous longeons le torrent du Nivolet sur quelques kilomètres.

Le sentier, comme le torrent, commencent à perdre de l’altitude.

Nous parvenons bientôt dans une zone un peu plus boisée et retrouvons des bouquetins.

Parvenus un peu au dessus de la croix de l’Arolley, nous faisons une pause face au Grand Paradis, rencontrant encore une biquette.

Puis c’est la dernière descente,

le long d’une très belle cascade,

avant de retrouver la forêt,

et le parking de Le Pont.

Une sublime randonnée un peu exigeante, dans des paysages très variés, parcourus par les bouquetins et les marmottes. Tous les ingrédients du parc du Grand Paradis y sont réunis.

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