Ubaye : Lacs de Lauzanier et de Derrière la Croix

Nous partons aujourd’hui de Pont Rouge, un peu en amont du village de Larche, accessible par une minuscule route toute défoncée.

Nous entamons alors la remontée du vallon de Lauzanier,

sur un large chemin presque plat.

Nous passons devant la cabane de Tardieu,

et poursuivons le long du torrent.

Nous laissons à notre gauche une petite forêt,

passons devant la cabane des Eyssalps,

et continuons la remontée du vallon.

Un regard arrière et nous apercevons la randonnée d’hier.

Le sentier devient plus pentu,

passe un dernier verrou,

et atteint le Lac du Lauzanier.

Nous le contournons par la droite,

et poursuivons notre montée.

De là, nous découvrons la chapelle au sommet du verrou mais que nous n’avions pas vu en passant.

Après une montée un peu plus soutenue, nous atteignons le lac de Derrière La Croix.

Nous déjeunons sur son côté, à l’abri du vent,

avant de pendre le chemin du retour.

Nous retraversons le torrent,

puis retrouvons bien vite, le lac du Lauzanier,

et sa chapelle.

Nous y redescendons,

montons jusqu’à la chapelle, 

avant de nous installer sur ses berges,

pour une petite pause, près du déversoir.

Le ciel devenant de plus en plus menaçant, nous reprenons la descente du vallon,

jusqu’à ses prairies humides.

Belle randonnée même si le vallon semble interminable.

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Ubaye : Lacs de Roburent

Aujourd’hui, changement de décors, nous sommes en Ubaye, juste en dessous du col de Larche.

Nous commençons par monter dans les pairies désséchées, 

apercevant maintenant le col de Larche.

Le sentier parvient à une zone plus caillouteuse,

et encore ombragée.

Il poursuit le long de sources, 

jusqu’à atteindre un premier verrou.

Nous partons alors sur la droite, et après un courte montée, retrouvons une première pièce d’eau partiellement asséchée.

Nous en profitons pour faire une petite pause goûter.

Nous abandonnons ce marigot pour poursuivre notre ascension,

et bientôt parvenir au lac de l’Orrenaye,

que nous contournons par la gauche.

Nous poursuivons la montée,

jusqu’au col de Roburent,

frontière entre France et Italie,

et où une belle borne nous accueille.

Puis nous plongeons sur le lac supérieur de Roburent.

Nous descendons sur ses berges,

pour le contourner sur la gauche,

et remonter vers d’anciens abris de pierres sèches.

De là, nous descendons vers le lac médian,

puis au lac inférieur,

où nous nous installons pour déjeuner loin de la foule.

Seule une marmotte nous surveille.

Un dernier point GPS au lac,

et nous remontons,

admirons le lac médian,

avant de partir sur la gauche pour contourner le rocher du bout du lac supérieur,

et en faire le tour.

Nous laissons à regrets ce cadre majestueux,

pour remonter au col de Roburent.

De là, nous partons à gauche, directement dans le vallon de l’Orrenaye,

pour bientôt retrouver le lac du même nom.

Nous longeons ses berges,

puis poursuivons dans le vallon,

avant de bifurquer encore à gauche pour rejoindre la Clapière, où nous sommes garés.

Splendide première randonnée en Ubaye, très courue en ce beau dimanche de Septembre.

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Écrins : Lac de Fangéas

Pour la dernière randonnée de notre séjour à Vallouise, nous partons d’un peu plus au sud : le terminus de la route venant de Fressinières. La route est d’ailleurs limite carrossable par endroits. Nous ne nous y laissons pas prendre et parvenons à vitesse très réduite au pont des Oules pour débuter la randonnée.

Une immense cascade descend du village perché de Dormiouse,

qui est lui déjà au soleil.

Nous laissons le sentier qui poursuit jusqu’au village,

pour tourner à gauche dans la forêt.

Le village de Dormiouse est déjà loin,

mais d’ici, la cascade est encore plus impressionnante.

Nous poursuivons maintenant dans le vallon, où d’autres cascades se montrent.

Nous longeons un temps le torrent,

avant de traverser celui des trois cascades.

Dormiouse est maintenant minuscule.

Nous gravissons un dernier verrou et découvrons ce qu’il reste du lac.

De là, Dormiouse est encore visible.

Nous déjeunons près du torrent,

entouré de prairies séchées.

Nous laissons à regret ce coin idyllique, totalement désert et parsemé de cascades.

L’ancien lac n’existe plus, les crues violentes de Novembre 2023 ont emporté le verrou qui le fermait.

Un dernier regard vers le plateau,

et nous redescendons dans le vallon,

après avoir retraverser la petite passerelle.

Au loin, la cascade de Dormiouse s’en donne toujours à cœur joie.

Nous bifurquons alors en direction du village,

que nous atteignons en traversant le torrent de Chichin.

Nous jetons un œil à l’ancien moulin,

avant de monter voir le temple.

Du haut du village nous pouvons apercevoir le plateau où nous étions tout à l’heure.

Nous terminons la descente en regardant la vallée,

saluant une dernière fois Dormiouse,

et sa fabuleuse cascade.

Superbe randonnée, curieusement peu fréquentée.

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Écrins : Bosse de Clapouse

Notre randonnée du jour débute d’Ailefroide, proche de son immense camping.

Elle débute comme d’habitude dans une belle forêt de mélèzes.

Nous bifurquons bientôt à gauche pour traverser le torrent sur une passerelle suspendue. 

L’ancienne a été emportée par les intempéries qui ont aussi ravagé le sentier. Un nouveau tracé dans les blocs nous conduit à faire un peu de Via Ferrata.

Nous retrouvons le torrent un peu plus haut,

avant de débuter notre montée dans le vallon.

Au fond, Ailefroide tente d’émerger des nuages.

Nous montons sur l’ubac, bien ombragé.

Nous atteignons de belles dalles bien lisses que nous contournons,

pour finir par atteindre la bosse de Clapouse après de larges lacets.

Nous y apercevons toute un horde de chamois dans les pierriers.

Le vallon de Clapouse est sous les nuages,

alors qu’en face le soleil brille. Nous déjeunons face au Pelvoux qui ne parvient pas à chasser les nuages.

Puis nous partons découvrir le début du vallon de Clapouse.

Ce n’est qu’un amas de pierres.

Nous prenons donc le chemin du retour, 

faisant une halte à la bosse face au Pelvoux toujours sous les nuages,

de même que les sommets d’Ailefroide.

Après un dernier regard vers le vallon de Clapouse désormais sous le soleil,

nous abandonnons la bosse,

pour retrouver le vallon de Celse Nière,

et ses sommets enneigés.

Nous redescendons dans la vallée,

retraversant les obstacles récents,

et retrouvons la passerelle suspendue.

Belle randonnée, un peu ternie par les nuages accrochés aux cimes. 

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Écrins : Refuge des Bans

Aujourd’hui, nous avons prévu de faire une randonnée pas trop longue car la météo annonce de la pluie dans l’après-midi. Nous partons donc pour Entre Les Aygues. Arrivés au pont des Places, un panneau « piste forestière, route non carrossable », nous y fait laisser la voiture. Ce sera donc une randonnée au refuge des Bans, presque zéro carbone, mais bien plus longue que prévue !

Nous prenons donc la piste, puis bientôt la route, pour monter à Entre Les Aygues.

Nous parvenons à un premier parking près de la petite chapelle Notre Dame de Beassac.

Nous poursuivons jusqu’à un second parking en activité, puis jusqu’à l’ancien, complètement hors d’usage suite à d’immenses coulées. Entre Les Aygues a été complètement ravagée par les intempéries !

Nous prenons alors le sentier qui monte dans les mélèzes.

Il s’élève sur la droite d’un verrou,

pour nous laisser découvrir tout le fond du cirque.

Nous parvenons à la cabane des Bans, 

puis poursuivons notre montée dans le vallon.

De multiples rus rejoignent le torrent des Bans.

Nous longeons une jolie petite pièce d’eau,

jetons un œil sur le chemin parcouru,

et repartons vers le refuge,

qui nous guette tout là-haut.

Nous faisons une pause déjeuner à son pied, proche du torrent, visités par un papillon.

Nous attaquons alors l’ultime montée,

pour découvrir la vue sur le fond du cirque,

les sommets,

et la vallée.

Nous saluons au passage les poules du refuge,

avant de prendre le chemin du retour.

Un dernier regard vers le refuge et nous revoilà dans le vallon, 

que nous descendons bercés par le son du torrent.

Nous retrouvons ensuite les mélèzes,

et le chaos d’Entre Les Aygues.

Après une petite pause, proche du torrent,

nous quittons l’ancien parking,

proche duquel un petit lac s’est formé.

Nous terminons en redescendant la route sur près de 5 kilomètres.

Une petite randonnée qui s’est transformée en semi marathon !

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