Verdon : Les Basses Gorges

Nous démarrons aujourd’hui de Quinson, au bord du Verdon.

Nous commençons par nous rendre au pont,

pour le traverser.

D’emblée la couleur est donnée, une eau turquoise sous le soleil radieux.

Les gorges nous accueillent,

et Quinson est déjà loin.

Nous cheminons le long de l’eau, le Verdon sur notre droite et l’ancien canal du même nom, sur notre gauche. (Aujourd’hui inutilisé, il avait été réalisé sous Napoléon III pour alimenter en eau, Aix en Provence).

Nous poursuivons toujours plus en avant dans les gorges et leur eau bleue.

Le sentier parfois en encorbellement, est souvent complété par des escaliers métalliques.

Les eaux sont calmes, seuls quelques canards en profitent.

Nous parvenons au bout de la section aménagée, où près de la maison du gardien du canal, un belvédère nous permet d’admirer une dernière fois les eaux turquoises.

Nous nous engageons alors dans un tunnel du canal, pour poursuivre dans une forêt pleine de lichens. Ici, tout est très sombre car le soleil parvient difficilement au fond de la gorge.

Il poursuit dans une forêt plus aérée,

pour déboucher bientôt en haut des falaises.

Tout en bas, le Verdon poursuit son cours.

Nous bifurquons à droite pour aller découvrir La Chapelle St Maxime, dominant l’ensemble des canyons.

Le thym est en fleurs.

Le retour s’effectue sur le plateau, sur un beau chemin.

Il nous permet bientôt d’apercevoir le barrage de Quinson,

et se couvre d’iris jaunes et violets.

Puis, c’est la plaine qui apparaît,

et enfin le village de Quinson.

Nous terminons au bord du vieux canal.

Une bien jolie randonnée, très variée et pas trop fréquentée en ce dernier lundi de mars.

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Verdon : Plateau de Valensole

Pour notre première randonnée dans le Verdon, nous optons pour la campagne.

Nous quittons les derniers lotissements de Valensole et déjà nous découvrons ces magnifiques jacinthes sauvages qui bordent les chemins.

Le chemin s’élève et les premiers champs de lavande apparaissent.

Nous laissons le village de Valensole derrière nous, sur le côté ouest.

Nous parvenons sur un immense plateau cultivé, de lavande mais aussi de drôles de plants qui nous intriguent (après recherche, de la sauge sclarée)

Immense vue sur 360 degrés, sans âmes humaines, avec, en fond, les montagnes enneigées.

Après avoir parcouru le plateau, le chemin s’approche d’une petite zone boisée,

pour virer à travers des collines.

Là, c’est un immense champ de tournesols laissés sur pied,

Ici, un troupeau de mouton qui broute paisiblement,

avec toujours pas très loin, de grands champs de lavandes.

Même si elles ne sont pas en fleurs, la géométrie de leur tracé est un vrai régal pour les yeux.

Céréales et montagnes complètent le tableau.

Ici, on vient de repiquer de jeunes plants.

Petite pose déjeuner en bord de cultures, sous l’ombre d’amandiers en fleurs,

avant de poursuivre, encore et toujours dans la lavande.

Nous parvenons alors au mas St Andrieux.

Le chemin se poursuit au flan des collines, bordé d’un immense champ de blé.

A partir de là, la végétation va changer car nous descendons dans le ravin de la combe (la partie la moins intéressante de la randonnée), avant de remonter à Monroc, où nous attend une vieille éolienne.

De retour sur le plateau, nous retrouvons les champs de lavande,

et une vue, on ne peut plus dégagée.

Nous redescendons alors sur Valensole et terminons par un nouveau bouquet de fleurs (des muscari sauvages), également bien présentes le long de la randonnée.

Une très belle immersion dans la lavande, même sans les fleurs …

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Vercors : Les Vouillants – La ferme Durand

Aujourd’hui, nous profitons encore du grand soleil pour une nouvelle balade sans emprunte carbone, à pied de bout en bout.

La randonnée proprement dite, démarre au Parc Karl Max et emprunte le même itinéraire que celui de la tour sans venin, jusqu’à la ferme Froussard.

En une semaine, la végétation a bien évolué et les premiers arbres sont déjà en fleurs.

Nous partons cette fois-ci sur la droite, pour rejoindre le sentier venant du coup de sabre. A partir de là, le sentier monte franchement à travers bois

pour atteindre la ferme Durand.

Nous trouverons finalement une petite brèche au delà de la clôture pour pouvoir admirer le V grenoblois,

mais aussi la vallée de l’Isère,

et juste à nos pieds, Sassenage

Un petit zoom nous confirme que le synchrotron est bien rond !

Il est alors temps de prendre le chemin du retour, en passant cette fois-ci par le coup du sabre.

Une belle grimpette d’un peu plus de 700 mètres, pour voir la ville de haut !

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Vercors : Les Vouillants – La tour sans venin

Aujourd’hui, nous profitons du grand soleil pour une nouvelle balade sans emprunte carbone, à pied de bout en bout.

La randonnée proprement dite, démarre au Parc Karl Max. Le sentier s’élève dans la forêt mais très vite, Grenoble et ses montagnes apparaissent.

Nous traversons le bois des Vouillants et parvenons bientôt au désert Jean-Jacques Rousseau

De là, le sentier poursuit sa montée pour atteindre la chapelle de la tour sans venin,

puis la fameuse tour, dernier vestige de l’ancien château de Pariset. Il paraît que c’est l’une des 7 merveilles du Dauphiné !

Merveille ou pas, la vue y est splendide.

Et aujourd’hui, il était même possible d’apercevoir le Mont Blanc.

Nous prenons alors le chemin du retour en descendant dans le vallon de la ferme Froussard où nous découvrons myriade de perce-neiges.

Le sentier poursuit à travers bois avant de retrouver la falaise qui nous permet d’admirer une dernière fois, Grenoble et son agglomération.

Une belle petite remise en jambes de 14 kilomètres.

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Chartreuse : Monastère de Chalais

Partis de la cabane des chasseurs, un peu au dessus de Voreppe, nous montons à travers bois et clairières, jusqu’au rocher de la vierge, à l’entrée du monastère.

Là, une majestueuse statue nous accueille

Seul subsiste un peu de neige aux pieds de falaises sommitales.

Nous décidons de contourner le monastère par le haut pour éviter les nombreux promeneurs qui vont et viennent vers le point de vue sur la vallée.

L’occasion d’admirer la magnifique forêt de Chartreuse, sous le soleil d’hiver (et de croiser une sœur, en promenade et contemplation elle aussi)

Après une halte pour se ravitailler en biscuits, nous prenons le chemin du retour, pour arriver à la voiture sous le lever de lune.

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