Écrins : Bosse de Clapouse

Écrins : Bosse de Clapouse

Notre randonnée du jour débute d’Ailefroide, proche de son immense camping.

Elle débute comme d’habitude dans une belle forêt de mélèzes.

Nous bifurquons bientôt à gauche pour traverser le torrent sur une passerelle suspendue. 

L’ancienne a été emportée par les intempéries qui ont aussi ravagé le sentier. Un nouveau tracé dans les blocs nous conduit à faire un peu de Via Ferrata.

Nous retrouvons le torrent un peu plus haut,

avant de débuter notre montée dans le vallon.

Au fond, Ailefroide tente d’émerger des nuages.

Nous montons sur l’ubac, bien ombragé.

Nous atteignons de belles dalles bien lisses que nous contournons,

pour finir par atteindre la bosse de Clapouse après de larges lacets.

Nous y apercevons toute un horde de chamois dans les pierriers.

Le vallon de Clapouse est sous les nuages,

alors qu’en face le soleil brille. Nous déjeunons face au Pelvoux qui ne parvient pas à chasser les nuages.

Puis nous partons découvrir le début du vallon de Clapouse.

Ce n’est qu’un amas de pierres.

Nous prenons donc le chemin du retour, 

faisant une halte à la bosse face au Pelvoux toujours sous les nuages,

de même que les sommets d’Ailefroide.

Après un dernier regard vers le vallon de Clapouse désormais sous le soleil,

nous abandonnons la bosse,

pour retrouver le vallon de Celse Nière,

et ses sommets enneigés.

Nous redescendons dans la vallée,

retraversant les obstacles récents,

et retrouvons la passerelle suspendue.

Belle randonnée, un peu ternie par les nuages accrochés aux cimes. 

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Écrins : Refuge des Bans

Écrins : Refuge des Bans

Aujourd’hui, nous avons prévu de faire une randonnée pas trop longue car la météo annonce de la pluie dans l’après-midi. Nous partons donc pour Entre Les Aygues. Arrivés au pont des Places, un panneau « piste forestière, route non carrossable », nous y fait laisser la voiture. Ce sera donc une randonnée au refuge des Bans, presque zéro carbone, mais bien plus longue que prévue !

Nous prenons donc la piste, puis bientôt la route, pour monter à Entre Les Aygues.

Nous parvenons à un premier parking près de la petite chapelle Notre Dame de Beassac.

Nous poursuivons jusqu’à un second parking en activité, puis jusqu’à l’ancien, complètement hors d’usage suite à d’immenses coulées. Entre Les Aygues a été complètement ravagée par les intempéries !

Nous prenons alors le sentier qui monte dans les mélèzes.

Il s’élève sur la droite d’un verrou,

pour nous laisser découvrir tout le fond du cirque.

Nous parvenons à la cabane des Bans, 

puis poursuivons notre montée dans le vallon.

De multiples rus rejoignent le torrent des Bans.

Nous longeons une jolie petite pièce d’eau,

jetons un œil sur le chemin parcouru,

et repartons vers le refuge,

qui nous guette tout là-haut.

Nous faisons une pause déjeuner à son pied, proche du torrent, visités par un papillon.

Nous attaquons alors l’ultime montée,

pour découvrir la vue sur le fond du cirque,

les sommets,

et la vallée.

Nous saluons au passage les poules du refuge,

avant de prendre le chemin du retour.

Un dernier regard vers le refuge et nous revoilà dans le vallon, 

que nous descendons bercés par le son du torrent.

Nous retrouvons ensuite les mélèzes,

et le chaos d’Entre Les Aygues.

Après une petite pause, proche du torrent,

nous quittons l’ancien parking,

proche duquel un petit lac s’est formé.

Nous terminons en redescendant la route sur près de 5 kilomètres.

Une petite randonnée qui s’est transformée en semi marathon !

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Écrins : Lac d’Arsine

Écrins : Lac d’Arsine

Nous partons aujourd’hui du Casset, un peu au Nord de Monetier-Les-Bains.

Le sentier traverse le village pour retrouver les champs,

puis bientôt la forêt de Mélèzes.

Nous suivons le Tabuc que nous finissons par traverser.

Tout là haut, les glaciers luisent au soleil.

Nous finissons par sortir de la forêt,

pour atteindre le lac de la Douche, 

surplombé par le magnifique glacier du Casse de la montagne des Agneaux.

Le sentier poursuit dans un verrou,

et nous sommes bientôt au dessus du lac.

Le verrou franchit, nous découvrons le vallon.

Le sentier suit le torrent,

qui dévale parmi les bruyères.

Celui ci devient turquoise,

à l’approche des chalets d’Arsine, et forme de petits lacs.

Les cimes sont ravissantes,

et l’on découvre alors les moraines qui cachent le lac d’Arsine.

Nous poursuivons notre montée, bifurquant sur la gauche près d’un petit cairn,

pour atteindre le lac après avoir franchi la moraine.

Nous déjeunons près du premier lac,

avant de partir explorer le deuxième.

Le pic Gaspard est ravissant.

En longeant le bras qui rejoint les 2 lacs, belles vues sur les sommets opposés, tout arides.

Nous prenons alors le chemin du retour, 

descendant la moraine,

jusqu’au col d’Arsine cette fois-ci.

Après un dernier regard vers les sommets,

nous redescendons le vallon,

rejoignant bien vite les chalets d’Arsine,

et leurs eaux turquoises, 

naviguant dans les méandres.

Nous longeons le torrent,

pour atteindre le haut du verrou,

puis le lac de la Douche,

où nous faisons une courte pose.

Puis, nous repartons dans la forêt, 

traversant,

et retraversant le torrent,

pour atteindre les pâturages du Casset.

Somptueuse randonnée, très variée, mais certes un peu exigeante.

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Écrins : Lac de l’Eychauda

Écrins : Lac de l’Eychauda

Nous partons aujourd’hui de Chambran, l’ultime hameau du vallon du même nom, à une dizaine de kilomètres au nord de Vallouise.

Nous remontons le vallon, 

parmi les cascades, revigorées par la pluie d’hier.

Nous traversons une belle passerelle, qui nous laisse découvrir l’immensité du vallon,

que nous poursuivons sans fin.

La montée devient alors plus ardue pour finir en lacets et nous laisser découvrir le lac de l’Eychauda.

Le lac est grand, serti dans un environnement tout minéral.

Nous déjeunons sur ses hauteurs, avant de remonter encore un peu pour mieux le contempler.

Au loin sur la droite, les plus vaillants sont montés au col des Grangettes.

Nous, nous préférons aller tenter de mettre la main dans ses eaux, au seul point accessible.

Le ciel se découvre un peu pour nous faire apprécier les cimes enneigées.

Puis nous prenons le chemin de la descente, tout le parcours étant bien visible.

Parvenus au fond du vallon,

nous côtoyons les colchiques qui parsèment la pauvre prairie.

Nous faisons une pause le long du torrent de l’Eychauda, la température y étant plus clémente qu’au lac !

De là, belle vue sur toute notre randonnée.

Nous rejoignons enfin le parking,

où les parapentes fleurissent comme des champignons.

Une jolie randonnée, au sentier visible dans sa totalité dès le début mais qui garde bien caché son trésor.

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Écrins : Le refuge du glacier blanc

Écrins : Le refuge du glacier blanc

Nous nous rendons aujourd’hui au fameux pré de Madame Carle pour cette première randonnée de notre séjour à Vallouise.

Du parking, nous pouvons déjà apercevoir le glacier blanc tout là-haut.

Nous commençons par traverser le torrent, pour monter sur la droite.

Nous pouvons admirer ce qu’il reste du glacier noir,

avant de bifurquer sur la droite pour longer ce que fût jadis le glacier blanc.

Il a maintenant reculé très haut au dessus du refuge.

Nous descendons traverser le torrent de fonte, pour monter à droite,

admirons le Mont Pelvoux,

avant de repartir en direction du glacier.

Des cascades parsèment les roches polies.

Nous distinguons maintenant le refuge,

bien intégré parmi les roches.

Nous croisons une marmotte,

avant d’atteindre le refuge de Tuckett,

un peu spartiate.

Mais les vues, tant sur le Pelvoux,

que sur le glacier lui-même sont somptueuses.

Nous poursuivons notre montée,

apercevant maintenant au loin le le refuge Tuckett devenu minuscule,

et arrivons bientôt au refuge du glacier blanc,

plus vraiment au pied du glacier maintenant.

Nous prenons alors le chemin du retour, face aux sommets.

Nous admirons aussi le glacier sous Ailefroide,

puis retrouvons le refuge Tuckett,

jetons un dernier regard vers le glacier avant de poursuivre la descente.

Nous parvenons ainsi à la passerelle du feu glacier,

puis repartons en direction du Pelvoux.

Nous profitons des sommets au loin,

mais aussi des jolis arabesques du torrent en bas vers le pré de Madame Carle,

avant de plonger en direction de la vallée du glacier noir,

franchir une dernière fois le torrent,

et retrouver le parking. De là, nous pouvons admirer une dernière fois le glacier blanc

et la brèche des Écrins.

Magnifique randonnée, au plus près des géants des Écrins.

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