Queyras : Pic de Caramatran

Nous montons déjà à 2600 mètres, au pied du col Agnel, pour débuter notre randonnée du jour.

La neige a déjà fait place aux prairies bien vertes.

Le sentier prend d’abord la direction du col, avant de bifurquer sur la droite.
Belle vue sur toute la vallée de l’Aigue Agnelle et sur les Écrins en fond.

Bien vite, nous abandonnons la prairie pour les pierriers parsemés de névés.

Le sentier poursuit ainsi jusqu’au col de Chamoussière.

De là, belle vue sur le mont Viso.

L’autre versant du col est beaucoup plus herbu.

Du col, nous montons sur la gauche, en direction du Pic de Caramatran, sur un sentier toujours bordé de pierres.

Le mont Viso nous surveille.

Nous parvenons à un petit replat,

avant d’atteindre la frontière italienne et découvrir le vert Piémont.

Du sommet du Caramatran, nous apercevons le mont Rose, le Cervin et le Mont Blanc,

et au premier plan, le Viso.

Le panorama est splendide.
A droite, à gauche, derrière, devant, nous sommes entourés de sommets.

Nous déjeunons donc ici, à un peu plus de 3000 mètres, sous un soleil radieux, sans le moindre souffle de vent, ce qui est très surprenant.

Rassasiés, nous prenons le chemin de la descente en saluant une dernière fois nos amis italiens.

Petite halte sur le replat engazonné, où nous pouvons largement admirer la vallée de l’Aigue Blanche, celle de St Véran,

avant de retrouver le col de Chamoussière, où le vent s’est levé,

puis redescendre au col d’Agnel, via le sentier minéral et ses quelques névés.

La prairie retrouvée, nous traversons quelques rus, en admirant les Écrins lointains.

Superbe randonnée dans le monde minéral mais néanmoins fleuri, face au mont Viso majestueux.

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Queyras : Col de Bramousse

Notre randonnée démarre aujourd’hui du petit hameau de Bramousse, accessible depuis la sortie des gorges du Guil, par une minuscule route en lacets.

Nous commençons par emprunter la route forestière, qui s’élève dans la forêt. A l’occasion d’une clairière, belle vue sur la chaîne d’en face.

Nous arrivons alors au « serre La Croix » ,où nous découvrons une belle croix et un oratoire, au milieu de la forêt !

De là, nous empruntons un sentier qui s’enfonce dans le vallon.

La montée se poursuit

jusqu’au premiers chalets de Bramousse.

Nous passons devant la chapelle, ceinturée de quatre poutres de mélèze qui tiennent les murs.

Puis nous dépassons la fruitière, encore fermée

et faisons une halte à la fontaine.

Nous poursuivons notre ascension et bientôt, nous dépassons les derniers chalets pour bifurquer sur la droite en direction du col de Souillet.

La montée se poursuit dans les mélèzes et les pins cembro,

pour arriver au col, où les arbres bouchent toute visibilité.

Nous reprenons donc la sente en direction du col de Bramousse.

Le sentier est alors beaucoup plus doux, et les arbres de plus en plus épars. Nous en profitons pour déjeuner parmi de jolies joubarbes.

Repus, nous terminons notre ascension dans les alpages

et les bouquets de rhododendrons.

La vue est désormais bien dégagée.

Et bientôt, nous sommes au col, où le spectacle est grandiose. Les pics de la Font Sancte culminent face à nous à 3387m, le plus haut sommet du parc du Queyras.

Nous pouvons même apercevoir les prairies du lac miroir où nous étions il y a quelques jours.

Après une bonne pose, nous prenons le chemin du retour via un sentier sur la gauche, qui descend dans les alpages, ornés de rhododendrons,

en lisière de forêt.

Bien vite, nous rejoignons les prairies, couvertes de fleurs toutes plus jolies les unes que les autres.

Nous retraversons le hameau d’altitude,

saluons une dernière fois l’église,

et redescendons dans la vallée, aux hameaux habités de Bramousse.

Une très belle randonnée, pas très courue, au royaume des fleurs de montagnes.

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Queyras : Crête de Curlet

Nous débutons aujourd’hui de Saint Véran (la plus haute commune d’Europe), enfin d’un de ses petits hameaux, au bas du village. Et, une fois n’est pas coutume, nous commençons par descendre,

jusqu’au torrent que nous traversons.

Nous montons ensuite dans la forêt, sur un sentier assez pentu, qui finira en long lacets pour nous conduire à des premiers pâturages.

Nous quittons bientôt le couvert de la forêt pour atteindre une cabane pastorale

et quelques ruines, sur lesquelles se dore une marmotte.

Nous bifurquons sur la gauche, dépassons les derniers arbres et atteignons de vastes alpages.

L’occasion de photographier quelques orchis vanillés.

Nous arrivons alors à La Croix de Curlet, face au village de St Véran.

La vue sur la vallée est splendide.

De la croix, le sentier poursuit en balcon, avec toujours St Véran en ligne de mire.

Il bascule ensuite vers les alpages merveilleusement fleuris, comme ici les silènes.

Puis, il nous dévoile le fond du vallon, et tout au loin, la frontière italienne.

Mais le temps se gâte, et nous devons rebrousser chemin et redescendre vers St Véran sous un petit crachin.

Le soleil momentanément revenu, nous en profitons pour déambuler dans St Véran, et admirer son temple

ses cadrants solaires

ses fontaines

et ses croix de mission.

Un dernier regard sur l’ubac d’en face et sa crête où nous étions il a y une petite heure, clôt cette très jolie randonnée. Dommage que nous n’ayons pu aller jusqu’au pic de Cascavelier comme initialement prévu.

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Queyras : Col de Néal

Nous débutons aujourd’hui du camping de l’Isoard, un peu au dessus d’Arvieux.

Un bon sentier,

rejoint bientôt la piste,

qui mène à Pra Premier, belle étendue verte parcourue par un petit ruisseau.

Nous poursuivons notre montée au Collet où nous découvrons les premières granges.

De là, le sentier traverse les alpages pour rejoindre bientôt les chalets de Clapeyto.

Il poursuit son ascension dans la pelouse alpine très fleurie.

Nous faisons une petite halte déjeuner près d’un ruisseau, avant de partir à l’assaut du col de Pansier.

Nous découvrons alors le lac du Cogour, avant d’atteindre le col de Néal et le lac du même nom niché en contre bas.

Nous montons un peu sur l’arrête ce qui nous permet d’apercevoir à la fois le lac Néal et lac Marion ?

Puis nous redescendons directement en direction de Clapeyto.

Quelques névés jalonnent le sentier,

bien surveillé par dame marmotte.

Nous poursuivons notre descente dans la prairie,

admirant aussi au loin notre sentier de montée.

Nous contournons Clapeyto et terminons notre descente jusqu’au Collet où nous retrouvons le sentier de la montée.

Bien belle balade au confins d’un espace encore bien vierge.

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Queyras : Lac des Rouites

C’est du petit village de Ceillac que nous partons aujourd’hui, plus précisément du parking de la petite station de ski.

Nous montons dans la forêt de mélèzes, sur un sentier en lacets.

Nous prenons bien vite de l’altitude car la montée est soutenue. Nous parvenons alors au ruisseau de la pisse, que nous longeons,

avant de le traverser,

et atteindre le lac miroir.

Nous le contournons par la droite pour monter au plus près des sommets,

et atteindre le lac des Rouites.

Nous descendons au bord de l’eau de ce petit lac glacière.

Ses abords sont couverts de touffes de gentianes.

Après une courte pose un peu venteuse, nous remontons sur le verrou,

saluons une dernière fois le lac,

et redescendons vers le lac miroir visible en contre bas.

Gentianes, rhododendrons, les parterres regorgent de fleurs.

Nous voilà revenus au niveau de lac,

où nous nous octroyons une nouvelle pose

parmi les fleurs.

Nous terminons le tour du lac pour redescendre vers Ceillac.

Une magnifique randonnée, haute en couleurs en cette période printanière.

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