Belledonne : Lac de Belledonne (tentative)

Nous partons aujourd’hui d’Allemond, dans la vallée de l’eau d’Olle, plus exactement d’un de ses hameaux : le Coteyssard.

Le sentier traverses bien vite deux petits ruisseaux bien en eau

avant de poursuivre dans la forêt.

Après une bonne grimpette sous bois, il débouche sous le refuge du Chazeau.

D’ici, belle vue sur les Grandes Rousses

Oz et la station de l’Alpe d’Huez.

Nous poursuivons notre ascension, ce qui nous permet d’avoir une vue encore plus dégagée.

Le sentier s’élève maintenant au dessus de la zone boisée,

au milieu des myrtilles et des rhododendrons.

La vue sur les Grandes Rousses et ses stations est majestueuse.

Après une montée soutenue et régulière, le sentier atteint le Pas du Bessey.

Belle vue à 360°

Le lac est maintenant tout proche, au fond derrière la croupe.

Nous nous engageons dans la petite descente, traversons une grande partie du pierrier mais stoppons au niveau du névé, suite à une foulure de cheville (le lac, ce sera pour une prochaine fois).

Nous prenons le chemin du retour à faible allure, admirant les rhododendrons encore fleuris dans le pierrier.

Puis nous refranchissons le pas, jetant un œil sur les glaciers lointains

La descente nous permet aussi d’apercevoir le barrage du Verney au fond de la vallée

Bref, une superbe randonnée dans une zone encore bien nature.

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Matheysine: Tabor et Piquet de Nantes

C’est de la station fantôme de St Honoré que nous partons aujourd’hui.

L’Obiou majesteux nous fait face.

Nous empruntons un large sentier qui monte dans la forêt.

Après une montée bien soutenue, il atteint la limite boisée. Nous pouvons donc admirer toute la chaîne du Vercors,

ainsi que le lac de Pierre Châtel.

Arrivés au niveau du lac Charlet, nous bifurquons à droite pour monter franchement le long d’une combe et déboucher sur les crêtes.

De là, nous tournons à droite pour atteindre le sommet du Tabor.

Nos efforts de montée sont largement récompensés par une vue époustouflante.

Devoluy,

Vercors

la vallée de Lavaldens

Même Grenoble est visible, au fond dans la brume.

Nous en profitons pour déjeuner. Subjugués par la vue, nous décidons redescendre par un autre chemin, en empruntant la ligne de crêtes.

C’est alors que nous apercevons enfin le lac Charlet, tout en bas.

Nous poursuivons notre descente sur la crête

Un regard vers l’arrière, nous dévoile le Tabor où nous étions pour le déjeuner.

Arrivés à « Chaurousse », nous hésitons : redescendre ou poursuivre encore jusqu’au piquet de Nantes.

Finalement, nous optons pour la poursuite et nous nous engageons dans la montée du second sommet. De ce dernier, belle vue sur le Tabor.

et sur les lacs Matheysins.

Nous prenons alors enfin le chemin du retour, admirant notre dernier sommet

et les lacs qui se rapprochent.

La descente se poursuit maintenant de manière plus douce, entre les fleurs

et bientôt les premiers arbres.

La station fantôme se rapproche

et nous voilà en bas,

Un dernier regard sur le piquet de Nantes conclut cette superbe randonnée.

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Oisans : Le lac du Goléon

En rentrant de notre petite semaine Guillestroise, nous faisons une petite halte au dessus de la Grave, au hameau des Hières.

C’est de ce petit hameau, face à la Meije, que nous débutons notre randonnée du jour.

Nous commençons par remonter la piste qui dessert le fond du vallon.

De là, un bon sentier va nous conduire jusqu’au lac du Goléon

Il s’élève dans les dernières prairies d’altitude et les pierriers.

De beaux névés sont encore présents dans les couloirs bordant le sentier.

Après une montée de plus en plus rude, le sentier débouche sur le verrou

et nous découvrons le fameux lac.

Nous déjeunons sur une petite terrasse le surplombant, avant de partir en découvrir les bords.

Du fond, avec la vue sur la Meije, le spectacle est somptueux.

Nous ne nous attardons cependant pas trop, car des nuées d’insectes nous encerclent. Un dernier regard vers le fond du vallon,

et nous prenons le chemin du retour.

La descente face à la Meije est ravissante, même si toujours aussi pentue.

Puis le sentier est moins soutenu et nous retrouvons les prairies fleuries.

Une bien belle conclusion pour cette petite semaine de randonnées printanières.

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Queyras : Pic de Caramatran

Nous montons déjà à 2600 mètres, au pied du col Agnel, pour débuter notre randonnée du jour.

La neige a déjà fait place aux prairies bien vertes.

Le sentier prend d’abord la direction du col, avant de bifurquer sur la droite.
Belle vue sur toute la vallée de l’Aigue Agnelle et sur les Écrins en fond.

Bien vite, nous abandonnons la prairie pour les pierriers parsemés de névés.

Le sentier poursuit ainsi jusqu’au col de Chamoussière.

De là, belle vue sur le mont Viso.

L’autre versant du col est beaucoup plus herbu.

Du col, nous montons sur la gauche, en direction du Pic de Caramatran, sur un sentier toujours bordé de pierres.

Le mont Viso nous surveille.

Nous parvenons à un petit replat,

avant d’atteindre la frontière italienne et découvrir le vert Piémont.

Du sommet du Caramatran, nous apercevons le mont Rose, le Cervin et le Mont Blanc,

et au premier plan, le Viso.

Le panorama est splendide.
A droite, à gauche, derrière, devant, nous sommes entourés de sommets.

Nous déjeunons donc ici, à un peu plus de 3000 mètres, sous un soleil radieux, sans le moindre souffle de vent, ce qui est très surprenant.

Rassasiés, nous prenons le chemin de la descente en saluant une dernière fois nos amis italiens.

Petite halte sur le replat engazonné, où nous pouvons largement admirer la vallée de l’Aigue Blanche, celle de St Véran,

avant de retrouver le col de Chamoussière, où le vent s’est levé,

puis redescendre au col d’Agnel, via le sentier minéral et ses quelques névés.

La prairie retrouvée, nous traversons quelques rus, en admirant les Écrins lointains.

Superbe randonnée dans le monde minéral mais néanmoins fleuri, face au mont Viso majestueux.

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Queyras : Col de Bramousse

Notre randonnée démarre aujourd’hui du petit hameau de Bramousse, accessible depuis la sortie des gorges du Guil, par une minuscule route en lacets.

Nous commençons par emprunter la route forestière, qui s’élève dans la forêt. A l’occasion d’une clairière, belle vue sur la chaîne d’en face.

Nous arrivons alors au « serre La Croix » ,où nous découvrons une belle croix et un oratoire, au milieu de la forêt !

De là, nous empruntons un sentier qui s’enfonce dans le vallon.

La montée se poursuit

jusqu’au premiers chalets de Bramousse.

Nous passons devant la chapelle, ceinturée de quatre poutres de mélèze qui tiennent les murs.

Puis nous dépassons la fruitière, encore fermée

et faisons une halte à la fontaine.

Nous poursuivons notre ascension et bientôt, nous dépassons les derniers chalets pour bifurquer sur la droite en direction du col de Souillet.

La montée se poursuit dans les mélèzes et les pins cembro,

pour arriver au col, où les arbres bouchent toute visibilité.

Nous reprenons donc la sente en direction du col de Bramousse.

Le sentier est alors beaucoup plus doux, et les arbres de plus en plus épars. Nous en profitons pour déjeuner parmi de jolies joubarbes.

Repus, nous terminons notre ascension dans les alpages

et les bouquets de rhododendrons.

La vue est désormais bien dégagée.

Et bientôt, nous sommes au col, où le spectacle est grandiose. Les pics de la Font Sancte culminent face à nous à 3387m, le plus haut sommet du parc du Queyras.

Nous pouvons même apercevoir les prairies du lac miroir où nous étions il y a quelques jours.

Après une bonne pose, nous prenons le chemin du retour via un sentier sur la gauche, qui descend dans les alpages, ornés de rhododendrons,

en lisière de forêt.

Bien vite, nous rejoignons les prairies, couvertes de fleurs toutes plus jolies les unes que les autres.

Nous retraversons le hameau d’altitude,

saluons une dernière fois l’église,

et redescendons dans la vallée, aux hameaux habités de Bramousse.

Une très belle randonnée, pas très courue, au royaume des fleurs de montagnes.

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