Les Baronnies : Les gorges du Riou

Les Baronnies : Les gorges du Riou

Nous partons aujourd’hui de St Genis, un village en perdition (seulement 50 âmes en 2013), à quelques kilomètres de Montrond sur la route Grenoble-Sisteron.

Pourtant il ne manque pas d’atouts, avec un beau cadran solaire et

un petit lavoir sous la route.

Les gorges nous attendent.

Nous empruntons un bon sentier pratiquement plat.

Il passe devant un vieux système permettant de descendre le bois de la montagne,

bien éclairée en ce début de matinée.

Nous arrivons alors sur le bord du Riou, au niveau d’un pont.

Nous le suivons tranquillement et le traversons sur une passerelle.

Son eau est limpide.

Puis, nous remontons les gorges,

passons sous un tunnel,

avant de laisser le ruisseau un moment pour remonter sur le versant opposé.

De là, belle vue sur le canyon.

Nous redescendons sur l’autre versant pour le retrouver.

Il a formé de belles marmites avec le temps.

Nous le traversons à nouveau,

pour remonter cette fois-ci dans une belle forêt de pins

et parvenir à la maison forestière du Jubéo.

De là, nous partons sur la gauche, pour une bonne montée au col de Revuaire. Belle vue sur la vallée en montant.

Nous décidons de déjeuner un peu au dessus de col, face à la vallée,

avant de repartir à l’assaut du Revuaire.

La montée à ce petit sommet valait grandement le coup. Merveilleux 360.

Belle vue sur la vallée du Buech,

Serres et son sentier des moines.

Nous prenons néanmoins le chemin de la descente, et au col, obliquons sur la droite.

Le sentier nous conduit dans la forêt mais nous permet de visualiser le col dont nous venons.

La descente se poursuit en forêt sur un agréable sentier,

avant de nous laisser apercevoir de nouveau la vallée et le plan d’eau du Riou.

Il bifurque alors sur la gauche pour descendre dans des pierriers

et se frayer un chemin parmi le chaos des roches.

Nous laissons sur la gauche une drôle de muraille,

avant de finir à nouveau dans la forêt,

et ses magnifiques couleurs d’automne.

Puis nous rentrons au village, en admirant une dernière fois les gorges.

Télechargez le fichier GPX

Les Baronnies : Les gorges de la Méouge

Les Baronnies : Les gorges de la Méouge

Nous débutons la randonnée du jour du bas de Barret sur Méouge, en empruntant sur quelques centaines de mètres la petite route de St Pierre Avez pour trouver le départ du sentier dans une épingle à cheveux.

Les gorges sont invisibles, bien cachées par la forêt.

Le sentier monte dans la garrigue

et bientôt elles apparaissent.

Nous partons alors sur une large piste,

qui nous dévoile la vallée.

Au loin, belle vue sur les montagnes enneigées.

Nous longeons les gorges sur la ligne de crête. La Méouge est toujours bien présente dans le fond,

et le panorama grandiose.

Nous parvenons alors au point culminant et son joli arbre mort.

De là, nous entamons la descente au regard de la plaine.

Nous profitons d’un replat pour déjeuner face à un minuscule village,

puis repartons sur la lande,

admirant les sommets lointains,

la grande plaine du Büech

et le château de Mison.

Puis nous obliquons à droite pour prendre le chemin du retour en descendant dans les gorges elles-mêmes.

Des lacets nous y conduisent.

Nous parvenons ainsi au vieux pont roman, sur les bords de la Méouge.

Après un petit aller-retour sur le pont, nous reprenons notre route en longeant la rivière.

Le sentier joue des montagnes russes pour remonter les gorges et nous conduire au rocher du château.

Nous poursuivons sur un sentier en balcon, parfois un peu délicat (et interdit en hiver)

Puis remontons sur la crête pour un dernier regard sur la Méouge.

Télechargez le fichier GPX

Les Baronnies : Les trompes du Faï

Les Baronnies : Les trompes du Faï

Nous aurions du faire la boucle de Clausonne mais une petite mésaventure en a décidé autrement (partir randonner sans son sac, c’est ballot ! ) Nous avons donc grandement écourté la balade pour ne faire qu’un aller-retour au Faï.

Nous débutons donc du village du Saix, où nous empruntons un petit chemin qui monte dans les gorges.

Le torrent de Maraize descend en petites cascades.

Après avoir fait quelques lacets, le chemin nous permet d’admirer la vallée.

Nous parvenons bientôt au Faî, où une premiere trompe mobile nous accueille.

Le sommet du fond de vallée est encore un peu enneigé.

Un bel alambic, prêt à distiller la lavande, trône au milieu du village abandonné.

Nous trouvons enfin les fameuses trompes.

Et celle des graves est particulièrement impressionnante par sa taille.

Positionnées face à la falaise, elles permettent un « effet de cathédrale » paraît il. Nous, nous avons juste testé l’écho, bien présent !

Un dernier regard sur les trompes et nous redescendons.

La vue sur la vallée est toujours aussi sympa. Bref, belle petite balade pour oublier les kilomètres en voiture.

Télechargez le fichier GPX

Vercors : Le Moucherotte

Nous partons aujourd’hui pour un grand classique : Le Moucherotte, sur un des tracés à fort dénivelé.

Nous débutons donc un peu en dessous de l’ancien tremplin olympique de St Nizier,

au pied des trois Pucelles.

Le sentier monte en forêt

et nous dévoile bien vite la vallée.

Le Mont Blanc est visible tout au loin.

Nous poursuivons en forêt pour atteindre le rocher du Bataillon, où nous rejoignions une large piste.

Après l’avoir remontée, nous repartons en forêt, sur l’autre versant.

Le sentier devient alors plus aéré et nous découvrons le plateau du Vercors.

Il le longe avant de bifurquer sur la gauche en lacets et nous conduire à l’abri du Moucherotte.

Il ne nous reste plus alors qu’à gravir les dernières prairies pour atteindre le sommet et sa table d’orientation.

La vue sur la vallée de Grenoble est sublime,

tout comme celle du plateau du Vercors.

Un dernier regard vers la Meige, tout au fond,

et nous redescendons déjeuner dans les pariries.

admirant, encore et encore la capitale des Alpes.

Le vent étant bien présent, nous prenons assez vite le chemin de la descente pour nous mettre à l’abri.

Le chemin du retour nous permet d’admirer les Pucelles,

où certains s’adonnent à l’escalade.

Puis, nous retrouvons la vallée,

les gradins bien géométriques de l’ancien tremplin,

et terminons au pied des Pucelles.

Une très belle randonnée d’automne, sous les derniers rayons de soleil d’Octobre.

Télechargez le fichier GPX

Chartreuse : La Pinéa

Chartreuse : La Pinéa

Nous avons profité du soleil encore généreux de cette fin Octobre, pour réaliser cette petite randonnée dans un massif de Chartreuse étonnamment sec. Mais après l’été que nous venons de passer, rien de très étonnant…

Nous débutons de l’oratoire d’Orgeval, sur la route du Charmant Som.

De là, nous partons dans la direction opposée au Charmant Som.

Nous reconnaissons notre randonnée vers la grande Sûre sur notre droite.

Nous poursuivons sur la crête, le Charmant Som s’éloignant derrière nous.

Nous atteignons bientôt le télésiège du col de porte, envahi par la végétation.

En fond de plan, la chaîne de Belledonne est bien visible.

Nous poursuivons sur un sentier qui alterne entre replats, montées et descentes.

Nous apercevons maintenant les habitations en fond de vallon,

et enfin la Pinéa !

Nous poursuivons en forêt jusqu’à son pied, que nous contournons par la gauche.

La pente est maintenant plus raide, et la vue plus dégagée.

Nous gravissons les derniers blocs de lapiaz, très glissants car patinés par le temps et les hommes,

pour déboucher sur le tout petit replat du sommet.

La vue est grandiose, sur Grenoble et ses vallées.

Nous ne nous éternisons pas car la place est chère et un peu ventée.

Nous redescendons donc déjeuner plus bas, face à Belledonne.

Peu de fleurs à cette période de l’année, hormis des fleurs séchées.

Seul un tout petit peu de neige est visible sur le pic de l’étendard au loin,

et sur le sommet du Mont Blanc, dans l’axe du chapeau d’Eric !

Après une ultime descente à travers les alpages, nous rejoignons l’oratoire et concluons cette randonnée assez fréquentée.

Télechargez le fichier GPX

Catégories

Archives

Blog de Marion