Taillefer : Lac fourchu depuis Ornon

Avec le grand vent du Sud annoncé, nous avons préféré la randonnée à la voile ! Nous partons donc aujourd’hui pour le lac fourchu depuis Ornon, un itinéraire un peu plus long que le traditionnel et qui nous est inconnu.

Nous démarrons des « terres froides », un peu au dessus du village d’Ornon.

Notre destination est déjà visible, tout là-haut.

Après avoir remonté une grande prairie, nous atteignons la forêt,

les sommets émergeants de la brume matinale.

Nous poursuivons notre montée, découvrant une magnifique piscine,

au bord du sentier maintenant à découvert.

Nous apercevons aussi le refuge du taillefer au loin, sentier que nous prendrons au retour.

Le sentier se rapproche peu à peu de l’eau qui dévale en ruisseaux

croise une bergerie

avant de rejoindre une magnifique zone humide

qui va nous conduire au premier lac.

Les lacs s’enchainent alors, tous plus beaux les uns que les autres.

Nous contournons le lac de l’agneau

pour aller déjeuner sur son bord protégé du vent.

Nous reprenons ensuite notre ascension, avec un dernier regard sur le lac,

pour monter jusqu’au col et redécouvrir le lac fourchu,

toujours aussi beau.

Nous en faisons le tour

avant de bifurquer sur la gauche

en direction du refuge du taillefer.

Le sentier est maintenant beaucoup moins emprunté

et atteint un petit col qui nous permet d’admirer tous les sommets de l’Oisans

Il poursuit dans la lande

pour rejoindre le refuge du taillefer.

Nous avons un dernier regard vers le plateau des lacs

avant d’entamer la descente.

Le sentier fait une longue traversée vers la gauche

qui nous permet même de voir le barrage de Grand Maison,

avant de rebifurquer sur la droite pour rejoindre le parking.

Magnifique surprise que ce nouvel itinéraire pour rejoindre le lac fourchu. La randonnée est certes un peu plus longue et exigeante, mais offre encore plus de trésors visuels.

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Matheysine : Le Tabor

Le ciel est plutôt dégagé sur le Grand Serre quand nous partons ce matin de Saint Honoré 1500.

Par contre, l’Obiou se dégage difficilement d’une mer de nuages.

Nous entamons la montée d’abord dans l’ombre,

puis sous un franc soleil.

A deux pas du lac Charvet, nous bifurquons sur la droite

pour poursuivre notre ascension dans un ciel maintenant plus laiteux

Arrivés au col, la vue sur la vallée de Lavaldens est toute bouchée

Et au sommet, nous sommes cernés par les nuages !

Nous redescendons par la crête pour déjeuner

avant de poursuivre carrément dans la brume.

A Chaurousse, nous obliquons vers Saint Honoré et les lacs, encore éclairés par le soleil.

avant de retrouver Saint Honoré sous les premières gouttes de pluie.

Bien dommage que la météo ne nous ait pas permis d’apprécier tous les charmes de cette randonnée, comme lorsque nous l’avions découverte en 2022 !

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Chartreuse : Monastère de Chalais

Petite randonnée pour se dégourdir les jambes, par une chaude journée d’été.

Nous optons donc pour la version 100% ombragée, depuis la route montant à Mont Saint Martin.

Une petite trouée nous permet cependant d’admirer la cluse de Voreppe.

Après une belle montée en forêt, et la rencontre d’un insolite petit crocodile,

nous rejoignons l’abbaye, toujours bien cachée mais toujours aussi belle !

Et en prime, la magnifique vue sur le Vercors

Après un arrêt imposé à la biscuiterie, nous prenons le chemin du retour.

Une grande classique, à deux pas de Grenoble, dont on ne se lasse jamais !

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Cantal : Le Puy Violent

Initialement partis pour le Puy de la Tourte, nous y renonçons finalement, la pluie nous ayant rattrapés sur la route après le col de Néronne. Nous décidons de nous rabattre sur un Puy moins élevé, le Puy Violent et rallions en voiture (attention, voie quasi unique à partir de Saint Paul de Salers) la Croix des Vachers.

Dès le départ, l’endroit s’avère singulier. Des prairies à perte de vues sans la moindre trace de l’espèce humaine, si ce n’est la route !

Que nous empruntons pour monter à son terminus. Nous croisons tout de même un buron en ruines.

Et en nous retournant, nous constatons que Salers est sous le soleil.

Nous poursuivons en direction du Puy Violent, maintenant sur un chemin empierré

en côtoyant les Salers,

qui se régalent de ces pâturages infinis.

Nous apercevons aussi le col de la Néronne.

et une partie du cirque de Récusset.

Le sommet se rapproche peu à peu

et la chaîne des sommets plus élevés commence à sortir de la brume.

Nous contournons le Puy Violent par la droite, passant près d’une petite barre rocheuse

avant d’atteindre le sommet.

De là, la vue est sublime, dommage que la météo ne soit pas plus clémente.

Nous ne nous attardons pas trop, car il fait glacial et le vent est violent, comme le Puy, qui porte vraiment bien son nom.

Nous redescendons déjeuner à son pied, abrités par la barre rocheuse.

Le Puy Mary se dévoile

au gré des nuages.

Le ciel se couvrant à nouveau, nous décidons de prendre le chemin de la descente.

Nous jetons un dernier regard au Puy Violent

avant d’accélérer un peu le pas, car le front pluvieux se rapproche,

ne semblant pas perturber le moins du monde les vaches et leurs veaux.

Nous retrouvons la Croix des Vachers sous la pluie.

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Cantal : Vic sur Cère

Aujourd’hui deux petites randonnées autour de Vic sur Cère compte tenu de la météo très changeante.

La première débute derrière l’église de Vic.

Elle traverse l’Iraliot

pour monter dans la forêt.

A la première bifurcation, nous tournons à gauche (malgré l’interdiction) pour nous rendre au trou de la Conque.

Charmante vasque dans laquelle chute l’eau du ruisseau.

Nous redescendons ensuite jusqu’à la bifurcation pour partir cette fois-ci de l’autre côté, vers le Castel Viel (emplacement de l’ancien château de Pierre de Vic, un troubadour à la poésie humoristique).

Belle vue sur les toits de Vic sur Cère.

Nous apercevons aussi la croix du rocher de Maisonne,

vers laquelle nous montons.

De là, la vue est plus intéressante, sur le bourg de Vic,

sur la vallée de la Cère,

ou en direction du nord.

L’endroit est très nature, visiblement peu emprunté.

Nous redescendons à mi-chemin pour déjeuner sur un gros rocher, moins exposé au vent.

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De retour au pied de l’église, nous reprenons la voiture pour nous rendre à Salvanhac, aux portes du camping, point de départ de notre seconde randonnée du jour.

Nous cheminons d’abord à niveau, sur le chemin des ombrelles.

Nous longeons ainsi les prairies,

pour parvenir au bord de la Cère.

Passionnés par l’histoire de Mlle Rovelli

nous remontons la rivière jusqu’à une passerelle

que nous traversons

pour découvrir enfin le secret

et parvenir au Pas de Cère.

L’endroit est charmant

presque tropical.

Nous poursuivons alors le sentier

pour monter à la cascade de Roucolle,

bien visible depuis une plateforme aménagée.

Nous admirons ainsi le travail de l’eau sur les roches volcaniques.

Puis nous prenons le chemin du retour,

appréciant encore la jolie voie d’eau.

Au final, deux petites randonnées sympa pour découvrir cette ancienne ville thermale,

à l’eau un peu trop ferrugineuse à notre goût !

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