Rendez-vous sur la tour Eiffel

Rendez-vous entre terre et ciel.

« Paris n’ s’rait pas Paris sans ell’
Paris, mais c’est la Tour Eiffel »

à presque 300m de hauteur.

Alors remontons un peu le temps.

Construite par Gustave Eiffel à l’occasion de l’Exposition Universelle de 1889 (qui célébrait le premier centenaire de la Révolution), la tour accueillit ses premiers visiteurs en mai 1889.

Elle était rouge Venise, comme le montre ce morceau d’escalier,

et Gustave Eiffel, y avait son bureau, sur la plateforme sommitale.

Elle fût critiquée, traitée en son temps de « squelette disgracieux »

Destinée à être détruite après l’exposition, elle fut cependant conservée 

Et est aujourd’hui un des monuments payants les plus visités au monde. 

De là, on domine les Invalides,

les jardins du Trocadéro,

la place de l’Etoile et l’Arc de Triomphe,

la Seine et ses bateaux mouches,

les buildings ultra modernes de la Défense,

comme les immeubles du baron Haussmann, avec leurs toits couverts de zinc ou d’ardoises.

Au loin, nous apercevons même la basilique du Sacré Cœur,

Tandis qu’à nos pieds, s’étire le récent musée du quai Branly.

Son sommet abrite les antennes TV

si utiles à la maison de la Radio.

Au total, plus de 6 300 tonnes de fer pour cette grande Dame

que l’on gravit désormais en ascenseurs

les escaliers n’étant accessibles qu’entre le sol et le deuxième étage.

Gustave Eiffel qui vécut jusqu’à 91 ans, avait bien raison de dire :

« Je devrais être jaloux de la Tour, elle est plus célèbre que moi ! »

« Paris n’ s’rait pas Paris sans ell’
Paris, mais c’est la Tour Eiffel »

A la recherche de l’or blanc

Avant que la neige ne disparaisse de nos montagnes, profitons en !

Quand bien même on apprend que l’on peut faire du snowboard en intérieur à Londres (Eh oui, de nos jours tout est possible !), il est grandement plus agréable d’en faire dans nos montagnes.

Car même si le temps n’est pas toujours aussi clément que nous promet la météo,

la montagne reste toujours aussi belle.

Mais certains sont un peu plus veinards et profitent pleinement du ciel bleu !

Dernières créations

Bonnes résolutions 2024, on recycle !

Les fleurs fanées retrouvent un nouvel éclat,

Le sous-main fait peau neuve,

Le pic du blanc du Galibier en court métrage.

A vous !

Bonne & Heureuse Année 2024

Quelques photos souvenirs d’une année qui vient de s’éteindre pour vous souhaiter une

Et pour les fervents des sources, de haut en bas et gauche à droite :

  • Pic blanc du Galibier, Décembre 2023
  • Strasbourg, à côté du parlement européen, Mai 2023
  • Lac de Bienne, Mai 2023
  • Fontaine, avec la mob flambant neuve, Juin 2023
  • Strasbourg, sieste dans le parc de l’orangerie, Mai 2023
  • Colorado, Juillet 2023

A la découverte de l’art urbain

L’aquarelle faisait, cette année encore, partie des surprises du père Noël;

de quoi nous donner une âme d’artistes….

Aujourd’hui, nous prenons donc nos bicyclettes pour partir découvrir non pas le musée de Grenoble, mais les œuvres qui jalonnent ses rues.

Nous débutons à deux pas de la maison, derrière la bibliothèque, pour admirer « La Tortue » (2017) de Veks Van Hillik.

Puis rejoignons la rue du tram, pour étudier la nouvelle réalisation de Seth, “Les Yeux dans les yeux”.

De là, nous traversons le Drac, pour déambuler dans le cours Berriat et ses nombreuses œuvres, dont « La Courbe » (2017) de Monkey Bird.

Après quelques pérégrinations, nous rejoignons la rue Génissieu, temple du street art, pour découvrir, « Stendhal Syndroma » (2015) de Mr Wany

et « La Petite Fille et Le Nounours » (2016) de Animalitoland.

Nous rejoignons ensuite la rue des Bergers, et ses fresques : « La Murène et les lys » (2015) d’Etien, aujourd’hui un peu vandalisée,

et “Ordering Machine” (2016) des  artistes suisses du duo Nevercrew.

Nous faisons ensuite un tour, place Jacqueline Marval, où de nombreuses portes de garages, attirent notre œil.

puis poursuivons jusqu’à la rue de Turenne pour admirer « Food for Thought » (2017) des jumeaux How & Nosm.

Nous tournons ensuite rue Augereau, dont tout un mur est entièrement peint.

Nous faisons alors une pause rue Marceau pour voir « Let’s get trunk » – Dumbo (2021) de Fanakapan

et remontons rue Berthe de Boissieux.

Petite halte rue Doudart de Lagrée pour retrouver « l’arme de la paix », (2016) œuvre majeure reconnue mondialement de Snek.

Nous avons ensuite un peu de difficulté à trouver la rue François Raoult, mais le bâtiment parking qui s’y tient, est une vraie salle d’exposition. Nous retiendrons « la Fille du Printemps » (2017) de RNST

et « Lady Refugee » (2017) de Goin.

Nous terminons enfin notre déambulation devant le « Professeur Renard » (2016) de Veks Van Hillik.

Une jolie balade même si le soleil un peu glacial de Décembre ne poussait pas à musarder devant les œuvres !

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