Cette avenue parisienne, toute proche des champs Elysées, bâtie de beaux immeubles et d’hôtels particuliers, est aujourd’hui un des hauts lieux de la mode parisienne.

Mais savez-vous pourquoi ? Car après la deuxième guerre mondiale, c’est ici que s’installe Christian Dior (au 30 précisément, à l’angle de la rue François 1er)

Petite visite guidée de la maison.

Après avoir franchi la porte, nous sommes accueillis dans la rotonde. Le dernier défilé tourne en boucle dans les alcôves d’une pièce d’un autre âge, alliance parfaite d’histoire et de modernité.
Au centre, un mannequin vêtu de pied en cape par la maison pour nous inviter à découvrir aussi bien les accessoires que le prêt-à-porter.
Puis différents petits espaces, salons, pour mettre en valeur, ici les chaussures, là, le prêt à porter, l’art de la table, les foulards, les petits accessoires,… Et bien évidement aussi les parfums, dans une pièce toute en miroirs anciens. C’est un vrai régal pour les yeux, nous sommes vraiment dans le temple du luxe !
Notre guide nous dévoile les produits phares de la maison ou leurs « réactualisations » – la collection du moment est inspirée de l’œuvre de Niki de Saint Phalle.


Elle nous fait également découvrir la singularité des articles, comme la semelle des chaussures qui portent toute l’étoile à cinq branches en métal, telle celle trouvée par Christian Dior sur le trottoir, au coin de la rue Saint-Honoré et de la rue Saint-Florentin, dans le 1er arrondissement parisien, un soir d’avril 1946.

Ici, tout a une histoire et est artistiquement pensé jusqu’au dessin des sols qui rappelle le motif des foulards.
Suite à une telle visite, nous ne pouvions abandonner le mode des arts. Nous avons donc poursuivi en direction du MoMA (Musée d’art moderne de la ville de Paris).
Nous avons pu comparer le réel
à l’imaginaire. A vous de décider lequel vous appréciez !

Quelques œuvres sur textile, pour rester dans l’ambiance


Après ce bain d’art moderne, une dernière vue de la capitale s’imposait. Petite balade métropolitaine et grimpette jusqu’à Montmartre

Mon stage parisien se termine, bye bye la haute couture
Je quitte la grande maison artistique et toute son histoire pour découvrir l’aventure et le virtuel d’une start-up. A suivre…