Algarve 2008 : Jeudi 17 Avril

Aujourd’hui, nous partons pour Sagres, l’ancien « laboratoire » d’Henri le Navigateur.

Nous commençons par faire une halte à l’office du tourisme. Bien mal, nous y en a pris. L’hôtesse, aimable comme une porte de prison (c’est vrai nous n’avions pas refermé la porte en entrant), nous assure qu’il n’y a aucun sentier pédestre à proximité (contrairement à ce qu’affirment les 3 guides dont nous disposons !).

Nous partons alors pour la forteresse. Et là, deuxième déception, le personnel est en grève (il n’y a pas qu’en France que cela existe !), la forteresse est fermée !
Qu’à cela ne tienne, nous allons la contourner à pied puisque les guides affirment que l’on peut en faire le tour. Horreur, le tour est effectivement possible lorsque l’on a franchi les remparts mais pas avant ! C’en est trop, nous quittons Sagres pour le Cabo São Vicente, le point le plus au sud-ouest de l’Europe.

Nous faisons halte à la plage de Beliche, où nous créons une œuvre éphémère : le temps d’une vague et toute disparaît !

Au cap Saint Vincent, beaucoup de touristes (évidemment, avec la forteresse fermée, tout le monde se retrouve ici !), mais nous réussissons tout de même à photographier le phare en solo.

De retour à Sagres, nous tentons une dernière fois de faire le tour de la forteresse, en attaquant par la partie Est, cette fois-ci, mais sans plus de succès.
Nous roulons alors jusqu’au port, dans lequel nous parvenons même à entrer (Vite, ressortir avant d’être rattraper par la police !).

Nous déjeunons ensuite sur la plage dite des surfeurs : A praia de Martinhal (compte tenu du peu de vagues, on en doute encore !).

Pour débuter l’après-midi, nous repartons vers Vila do Bispo pour descendre à la « Praia do Castelejo », que nous atteignons après un trajet de 5km sur une étroite route en lacets serpentant à travers la lande.
Jolie plage de sable blanc et noir, compte tenu des roches environnantes.

De retour sur les falaises, nous entamons une randonnée vers la « Torre d’Aspa », qui nous permet d’admirer la petite plage d’où nous venons d’un peu plus haut : Magnifique ! Calme et reposant, le sentier navigue à travers la lande, les champs de blé et au loin, les éoliennes qui tournent à plein rendement. Un troupeau de vaches, un petit serpent mais aucun touriste à l’horizon. Le rêve !

Algarve 2008 : Mercredi 16 Avril

Aujourd’hui, nous nous éloignons de la côte et partons pour la montagne : La Serra de Monchique.

Petite visite à l’office du tourisme où l’on apprend que les sentiers pédestres vantés sur Internet, ne sont qu’en projet !!! Par contre, il existe des petits chemins asphaltés et peu fréquentés, qui permettent de rejoindre les sommets, en particulier la Picota, objet de nos désirs.
Nous laissons donc la voiture où indiqué et partons à l’assaut du sommet local. Effectivement, même si le sommet n’est pas très élevée (768m), la pente est rude ! Dur, dur pour les mollets !

Nous atteignons cependant le mirador sans difficulté mais n’osons y grimper (les premières planches sont vermoulues et il manque les dernières !).

Déjeuner sur l’herbe, un peu à l’écart des randonneurs (enfin presque, car quand un groupe disparaît, un second réapparaît). Les papillons tant vantés sur la brochure du Net sont également bien rares, nous n’en verrons que 2 !!

Retour à la voiture, pour poursuivre sur Silves.

En chemin, nous faisons une petite halte sur le bord de la route pour acheter quelques oranges. Là, une petite mamie nous propose de magnifiques oranges, des tomates bien mures et un melon portugais, excellent parait-il ?! Nous prenons le tout, au prix touristique bien évidemment ! Mais, nous ne serons vraiment pas déçus. Le melon, mangé au dîner, était excellent, très sucré, bien que de chaire parfaitement verte ! Et les oranges, un vrai régale. Nous n’en avions jamais mangés d’aussi bonnes. Merci mamie !

La ville de Silves, par contre, ne nous a pas emballée. Le château, en plein travaux avant la saison touristique, était bien décevant.

Nous avons donc terminé la journée à Albufeira (le Saint-Tropez de l’Algarve), sur la plage historique, accessible par un passage creusé dans la roche à l’extrémité de la rua 5 de Outubro. Les touristes sont bien là et l’activité associée aussi : Béton à outrance, pour palier à l’érosion naturelle. C’est bien dommage !

Algarve 2008 : Mardi 15 Avril

Aujourd’hui, nous partons à l’Ouest : direction Alvor, petite bourgade côtière.

Nous commençons par longer la plage (et ses parasols attendant les touristes), puis la jetée, avant de terminer notre promenade matinale le long de la lagune, face au vieux port.

Nous poursuivons en voiture jusqu’à Lagos et Ponta da Piedade. A l’extrémité ouest de la baie de Lagos, cette pointe est bordée de falaises ocres dans laquelle l’érosion a creusé des grottes et des arches de pierres.

Nous déjeunons sur la falaise, à 2 pas du phare, avant de descendre jusqu’aux arches. Aujourd’hui, la mer est particulièrement agitée et les bateaux ne peuvent venir accoster aux pieds des falaises.

Après avoir admirer les superbes vagues (+ de 2 mètres de haut) au pied des rochers et une petite séance photo, nous partons explorer la partie ouest.

Nous trouvons un accès à une plage. Plage de galets, elle est totalement déserte, balayée par d’immenses rouleaux. Eric y découvre un joli quartz.

Nous remontons sur les falaises pour explorer la partie Est, qui se révélera beaucoup moins intéressante car l’érosion faisant son chemin, l’accès aux plages est désormais impossible. Nous goûterons donc sur les falaises avant de rentrer, les poumons bien aérés.

Algarve 2008 : Lundi 14 Avril

Nous partons pour Tavira. Cette ville s’étend de part et d’autre du rio Gilão, qu’un vieux pont romain permet de traverser.

 
Nous goûtons sur la place de la république (Praça da República) de délicieux gâteaux portugais (des Algarvios).
 
 
Nous montons ensuite jusqu’au château, en passant devant différentes églises mais fermées en ce lundi.
 
 
 
Le petit jardin situé à l’intérieur est ravissant : Hibiscus et autres fleurs importées d’Amérique du Sud par les navigateurs.
 
 
Après une brève halte sur les rives du Gilão, nous traversons le petit port pour aller jusqu’à l’embarcadère qui conduit à la plage. Celle-ci est située sur une île, face à l’estuaire.
 
 
Nous ressortons du centre ville pour déjeuner dans la banlieue environnante, avant de partir pour Cancela Velha.

Magnifique petit village de pécheurs : maisons traditionnelles, éclatantes de blancheur et une église toute simple ceinturée d’une terrasse face à la mer.

 
Nous descendons jusqu’à la plage pour y retrouver les traditionnelles embarcations portugaises aux vives couleurs.
 
 

Nous terminons la journée à Castro Marim avec ses 2 châteaux : un ancien château maure et une forteresse à la Vauban.

Et surtout sa réserve naturelle dans le Parque Natural da Ria Formosa, au cœur des marais salants. Là, nous découvrons de nombreux oiseaux ; cigognes, hirondelles et autres échassiers au cours d’une promenade pédestre bien agréable.
 
 

Algarve 2008 : Domingo 13 de Abril

Vamos a Paderne. Depois de algumas idas-e-voltas por cosa de má programação do GPS, chegamos em Parderne, perto do estádio e do cemitério. Os caminhos são bem indicados. Decidimos ir ao castelo (PR1). Começamos por atravessar campos de árvores de frutos (laranjeiras, amendoeiras e oliveiras). É enquanto que apercebemos uma enorme serpente (+ de 1 metro de longo), esmagada no meio do caminho! Alguns minutos após, encontramos um pastor com a sua manada. Lá, damo-nós conta que fazemos má estrada (descobrimos as balizas de regresso!). Decidimos por conseguinte fazer o circuito em sentido oposto para evitar fazer demi-tour (bonito erro, conviremos seguidamente!!!). Após alguns quilómetros, chegamos ao castelo mas este último é fechado. Prejuízo! Retornamos a colina até ao rio e descobrimos a ponte romana. É aqui que decidimos almoçar. Prosseguimos seguidamente sobre a outra margem, até ao moinho do castelo. O rio é muito bonito mas em cheia, deveu chover recentemente (surpreendente para o Algarve, região considerada muito árido). Subimos através… e firmes. É aqui que o topo indica-nos de atravessar o rio sobre algumas pedras. Mas o rio está cheia e é impossível atravessar!!! Devemos fazer degrau traseiro e voltar até ponte à romana (5 quilómetros). Duro, duro!!!. Finalmente, chegamos sobre a outra margem e habitamos a planície inondable. Lá ainda, numerosos orangers, amandiers, oliveiras e muito bonitos e de grandes flores limitam o caminho. Chegamos então à fonte Paderne, onde tradicionalmente as mulheres da aldeia vinham lavar o seu roupa. Para terminar, montamos até ao moinho à vento, recentemente restaurado. Retornamos à casa efectivamente fourbus, após xxx quilómetros (enquanto que a balada inicial não contava que xx). Era sem estar a contar recentes as chuvas!!. Terminamos o dia à praia do penhasco (Praia Falésia), perto do apartamento

Catégories

Archives

Blog de Marion