Suisse : Jardin aux herbes Ricola et Sentier des abeilles

Suisse : Jardin aux herbes Ricola et Sentier des abeilles

Souvent nous traversons la ville de Laufen (et ses bâtiments Ricola) sans nous y arrêter. Ce week-end, nous faisons une halte à la boutique.

Et aujourd’hui, nous décidons d’en savoir plus sur ces fameux bonbons.

Nous partons donc à la découverte de son jardin aux herbes, depuis le bas du petit village de Nenzlingen, au Nord Est de Laufen. Nous remontons la petite route pour parvenir à un premier croisement, dans des vergers bien fleuris.

Nous apercevons alors le village de Blauen

Nous poursuivons notre montée et arrivons bien vite au jardin Ricola. D’ailleurs nous apprenons que Ricola vient de Richterich & Co Laufen, le boulanger et pâtissier Emil Richterich en étant le fondateur en 1930.

Et que les 13 plantes qui composent les fameux bonbons sont les suivantes

Primevère, (là, c’est la pleine saison, les cucumelles comme mamie les appelle, sont toutes fleuries)

Sureau,

Véronique,

Mauve, (là il va falloir attendre un peu pour la voir fleurir …)

Mais aussi Millefeuille, Alchémille, Guimauve, Marrube, Pimprenelle, Plantain, Menthe poivrée, Sauge, et Thym, rassemblées dans un parterre encore un peu terne en ce début de printemps.

Le jardin regorge aussi d’autres plantes car aujourd’hui, la société fabrique jusqu’à 60 types de bonbons ou tisanes différentes.

Nous avons même pu admirer des châtons de noyer en boutons.

Le jardin traversé, nous poursuivons sur le sentier des abeilles,

avant de faire demi-tour à l’air de barbecue. Nous revenons alors chez les abeilles

et retraversons le jardin.

Nous terminons par le champ de menthe, la spécialité de ce jardin. Plus de 30 variétés y poussent.

Bref, une bucolique petite pause sur le chemin du retour vers la France.

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Suisse : Rando vélo à Augusta Raurica

Suisse : Rando vélo à Augusta Raurica

Nous partons ce matin du centre ville de Bâle en direction de l’Est pour rejoindre bien vite les merveilleux jardins Merian.

Cyclistes pied à terre, nous commençons par monter à l’orangerie.

Les immenses massifs de tulipes ne sont ici pas encore en fleurs

Et les carrés potagers, encore pauvrets.

Mais dans les bordures, là, les tulipes sont énormes.

Nous rejoignons alors un nouveau jardin (le parc Pré vert – Grün 80), bordé d’une pièce d’eau,

avant de trouver un joli dinosaure.

Ce géant salué, nous réenfourchons nos bicyclettes pour gagner les ruines romaines d’Augusta Raurica. Du temple, il ne reste hélas que l’emplacement.

Par contre, le théâtre (troisième du titre) a lui été entièrement reconstruit.

Du haut des gradins, la vue sur le temple devait être impressionnante.

Nous quittons le théâtre pour le forum et la curie où sont cachées de belles mosaïques.

Puis nous partons pour les thermes

et leur fantôme,

avant de reprendre nos vélos pour découvrir une taverne (vive la réalité augmentée) et aller jusqu’au Rhin, observer les restes de l’église paléochrétienne.

Repus d’histoire romaine, nous rentrons en Suisse par l’Allemagne pour retrouver la ville de Bâle et ses tours si caractéristiques.

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Matheysine : Le Sénépy

Matheysine : Le Sénépy

Nous partons ce matin de la micro station de ski des Signaraux.

Un seul et unique téléski la compose, aujourd’hui juste saupoudré d’un fin voile de neige.

Nous démarrons sur la droite par un large sentier, qui sort bien vite du bois,

pour déboucher dans un vallon, bientôt ensoleillé.

Les crocus sont recouverts de neige fraîche.

Derrière nous, la cime de la Peyrouse est encore dans les nuages.

Et le barrage du Monteynard, pas encore tout à fait visible.

Nous poursuivons notre montée en direction du col du Sénépy.

Le sentier est maintenant beaucoup plus étroit et très boueux.

Après une ultime grimpette, nous atteignons le col.

Le barrage du Sautet est bien visible sur l’autre versant.

Nous grimpons alors sur la droite en direction du sommet, pour parvenir au Bruy.

Une ultime côte nous permet d’atteindre le sommet et d’apercevoir Grenoble.

Nous poursuivons un temps sur la crête pour parvenir à l’aplomb du lac du Monteynard,

toujours pas très en eau.

Après une pause déjeuner face au Vercors, nous redescendons rapidement au col car le soleil joue à cache cache avec les nuages, et il ne fait plus très chaud.

Du col nous partons cette fois sur la gauche, pour admirer le sommet tout rond que nous venons de gravir.

Le sentier parcourt la croupe herbeuse, maintenant de nouveau sous le soleil.

Le barrage du Sautet est toujours bien visible.

Mais l’Obiou reste sous les nuages,

tout comme les sommets du Vercors.

Nous continuons à longer la crête, sous un soleil désormais radieux.

Sa majesté l’Obiou sort enfin de son voile de nuages.

Nous rejoignons ainsi la pierre plantée, d’où nous pouvons admirer les lacs de Laffrey,

encore et toujours, l’Obiou,

et visualiser presque l’ensemble de notre randonnée.

Avec ce beau soleil, la neige a toute fondu et nos amis les crocus retrouvent de l’allant.

Nous redescendons alors jusqu’au téléski.

pour conclure cette magnifique randonnée.

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Trièvre : Boucle de Longueville

Trièvre : Boucle de Longueville

En ce premier Avril, la météo est très changeante. Nous prenons cependant la route du Trièvre pour aller à Saint Baudille et Pipet.

En chemin, nous faisons une petite halte au Pont du Brion,

et constatons que le lac du Monteynard est toujours bien bas.

Arrivés au départ de la randonnée, au pied de l’église, il tombe des trompes d’eau ! Nous déjeunons donc dans la voiture avant de voir le soleil peu à peu se pointer.

Nous partons pour la boucle de Longueville et découvrons que le village est un peu au bout du monde, surveillé par de grandes montagnes.

Le sentier commence par longer la petite route

puis se prolonge sur un chemin de terre, à travers prés.

Dans le bas, nous apercevons le château de Montmeilleur.

Le chemin poursuit sa montée à travers champs, en direction des montagnes

Nous atteignons alors la forêt, constituée essentiellement de pins,

avec maintenant une vue sur la tête de l’Oubiou dépassant des premières crêtes enneigées.

Par contre, la vue sur le sud est toujours bien bouchée.

Nous redescendons alors vers le hameau de Longueville où l’eau ruisselle à tout va.

Le soleil se cache brièvement

Avant de réapparaitre bientôt.

Nous redescendons maintenant à travers champs.

Les petit et grand Ferrand se dégageant peu à peu.

La chaîne du Vercors, reste quant à elle, bien couverte par les nuages.

Puis c’est le village qui apparaît

pour conclure cette petite randonnée bien sympa, dans les fins fonds du Trièvre.

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Chambaran : Vatilieu, circuit de champ Floux

Chambaran : Vatilieu, circuit de champ Floux

Pour cette toute première randonnée printanière, nous optons pour les Chambarans et leur faible altitude. Nous nous rendons à Vatilieu,

et ses sculptures aux 4 vents.

Nous commençons par prendre le chemin de la descente pour rejoindre Champin. De là, le sentier part dans la combe

pour rejoindre son fond et traverser le ruisseau.

En ce début de printemps, les champs sont couverts de « coucous »

Nous remontons ensuite sur l’autre versant, notre point de départ, Vatilieu, bien visible

et arrivons à Revoloré.

De là, le sentier poursuit en balcon à travers champs. Nous profitons de l’éclaircie pour déjeuner, face au Vercors, encore un peu sous les nuages.

Mais nous devons terminer rapidement, une belle giboulée nous ayant rejoints.

Nous poursuivons dans un grésil, bien frisquet. Il n’a cependant pas l’air de perturber nos amis les ânes.

Nous montons maintenant à travers bois, où le vent du Nord est moins sensible, pour déboucher sur la crête.

La giboulée passée, nous retrouvons une nouvelle fois la forêt

puis prenons le chemin de la descente.

Les oiseaux ont épargné le houx, encore plein de boules.

Nous atteignons bientôt la croix de Plâtres avec une première sculpture

La suivante porte un nom bien choisi, face au Vercors : « Vers Corps »

Nous remontons à nouveau sur le versant opposé, pour atteindre la fenêtre

et son panorama.

La montée se poursuit

Et c’est maintenant, « Point de Mire »

Au sommet, nouvelle sculpture

et beau point de vue sur la Chartreuse encore un peu enneigée.

De là, nous laissons le sentier pour continuer à l’orée du bois et admirer la vallée de l’Isère.

Nous rattrapons le sentier pour découvrir une nouvelle sculpture: « Levant dominant »

Le sentier descend maintenant progressivement, agrémenté de nouvelles œuvres d’art.

« Germination »

 » Orion l’annonciation »

« Le vent rouillé »

Au loin, nous apercevons Notre Dame de l’Osier

Une dernière œuvre  « L’ arbre aux vents « 

et nous voilà de retour à Vatilieu.

Nous terminons par un petit détour en voiture jusqu’à Notre Dame de l’Osier

pour découvrir l’histoire de l’huguenot Pierre Port-Combet

et saluer la vierge.

Belle première randonnée de printemps, sous un ciel on ne peut plus changeant.

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